Warren Gatland, entraîneur néo-zélandais du pays de Galles, exprime ses regrets d’être revenu à la tête de l’équipe nationale. En effet, il ignorait l’ampleur des problèmes internes du rugby gallois.
Un contexte compliqué depuis le départ de Wayne Pivac
Gatland a été réembauché par la Fédération galloise de rugby (WRU) en décembre dernier, suite au départ de Wayne Pivac. Depuis son retour, le rugby gallois a connu des crises, notamment des allégations de sexisme et de misogynie au sein de la WRU et des problèmes financiers menant à des menaces de grève des joueurs.
Des difficultés sur et en dehors du terrain
L’entraîneur néo-zélandais a également dû faire face à des difficultés sur le terrain. On peut citer les retraites d’Alun Wyn Jones, Justin Tipuric et Rhys Webb, ainsi que d’autres joueurs se retirant de la sélection. Les choix d’équipe et les commentaires de Gatland ont parfois été critiqués, notamment en ce qui concerne les problèmes hors terrain.
Un optimisme pour la Coupe du monde malgré tout
Malgré les défis actuels, Gatland reste optimiste quant à la possibilité de redresser la situation pour la Coupe du monde, notamment grâce aux jeunes talents qui émergent. Il espère que les médias gallois continueront à sous-estimer l’équipe, car cela leur permettra de “venir sous le radar” et motivera encore plus les joueurs.
Un groupe difficile pour le pays de Galles
En phase de groupes de la Coupe du monde en France, le pays de Galles affrontera l’Australie, les Fidji, la Géorgie et le Portugal. Une compétition à ne pas prendre à la légère et qui demandera aux joueurs de se surpasser pour espérer aller loin dans le tournoi.
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