Christophe Urios de Clermont et Grégory Patat de Bayonne se sont lancés dans une petite joute verbale qui n’a laissé personne indifférent. Suite à la victoire de Bayonne contre Clermont (21-13), les deux hommes n’ont pas manqué de pimenter le débat.
Urios, pas du genre à se laisser faire
Après la confrontation entre Clermont et Bayonne, Urios n’a pas mâché ses mots envers Grégory Patat et son équipe, critiquant ouvertement leur approche. La victoire de Bayonne, cruciale dans la lutte pour le maintien, n’a pas tempéré les ardeurs du manager clermontois, qui a exprimé son mécontentement lors de l’émission “100% Rugby” sur France Bleu Pays Basque.
Avant Toulouse, Urios ne baisse pas le ton
La tension monte d’un cran lorsque Urios répond à une pique de Patat concernant Cheik Tiberghien, ancien joueur de Clermont brillant lors du match contre Bayonne. Urios souligne qu’il ne s’occupe pas de la gestion de Bayonne et demande à Patat de faire preuve d’humilité. Il défend sa décision de ne pas garder Tiberghien pour des raisons spécifiques, affirmant que ni lui ni son club n’ont de leçons à recevoir de Bayonne.
Le rugby, plus qu’un sport, une affaire de cœur… et de mots
Ces histoires montrent à quel point le rugby, c’est pas juste des plaquages et des essais. C’est aussi des mots, des émotions, des rivalités qui se jouent aussi en dehors des stades. Les sorties d’Urios, c’est un peu comme si on assistait à un match dans le match, avec des supporters et des curieux qui attendent la réplique comme on attend le coup d’envoi.
J’ai grandi dans une famille où le rugby était de tous les moments. J’étais au bord du terrain quand Castres a battu Pau et a rejoint l’élite, j’étais dans le Stade Pierre Antoine face à Gary Whetton quand il a fait son Haka pour célébrer le Brennus de 1993 et j’ai toujours été bercé des légendes de ce sport. Maintenant, c’est avec XV Ovalie que j’entends prolonger l’aventure. #TeamCO
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