Quand Clermont s’incline de justesse 32-31 face aux Sharks, Christophe Urios n’est pas du genre à cacher son jeu.
La scène post-match ? Un vestiaire où “ça sentait la mort”, dixit Urios. Un cri du cœur qui résume bien le séisme émotionnel après une telle défaite, surtout quand tu tiens la finale à portée de main. Les pénalités du premier acte ? Un vrai cadeau aux adversaires, selon lui.
L’essai qui n’était pas : la polémique gronde
Au centre des débats, une décision arbitrale qui passe mal. Joris Jurand, déjà en grande forme, aurait pu changer la donne avec un essai de pénalité. Mais non, l’arbitre Luke Pearce voit les choses autrement.
Son verdict ? Pas assez sûr de l’essai pour le siffler. Ce qui a bien sûr mis le feu aux poudres chez les fans et sur les réseaux, chacun y allant de son commentaire sur ce coup du sort.
Solidarité et détermination malgré tout
Malgré la pilule amère, Clermont montre des muscles, surtout collectivement. Urios veut qu’on retienne ça : son équipe, ce n’est pas juste une ou deux stars, mais un groupe soudé, prêt à en découdre.
Le pack a fait le boulot, dominant clairement les phases de mêlée. C’est ce niveau qu’Urios veut voir tout le temps, pas juste quand ça chauffe.
Voilà Clermont à un tournant. La défaite est là, c’est sûr, mais c’est aussi le genre de moment qui forge le caractère. Prochain défi ? Utiliser cette rage pour revenir encore plus fort et prouver que cette équipe a les crocs pour les grands rendez-vous.

Marco, avec lui, tu ressens chaque match comme si t’étais dans les tribunes, la tension, l’excitation, la joie des grands jours. Il a cette manière unique de raconter les matchs, te faisant vibrer au rythme du ballon ovale. Marco, c’est notre conteur, celui qui sait transformer un match en légende.