Ce weekend, le Stade Toulousain a prouvé sa valeur en territoire adverse, tandis que Clermont a vu certains de ses guerriers flancher sous la pression.
Urdapilleta, pas dans son assiette face à Toulouse
Parlons d’abord de Benjamin Urdapilleta. Habituellement, il sait y faire avec un ballon ovale, mais contre Toulouse, ça n’a juste pas été son jour. Entre passes ratées et manque de précision au pied, disons qu’il a connu des jours plus inspirés.
Jules Plisson a pris le relais et a mis un peu plus de peps, mais le mal était fait. Toulouse s’est imposé 33 à 37, et pour Clermont, c’était la soupe à la grimace.
La défaite à Bayonne a certainement laissé des cicatrices
La pilule a été dure à avaler pour Clermont après leur déplacement à Bayonne. Avec un score final de 21-13, cette défaite a sans doute laissé quelques traces dans les esprits. Jusqu’aux derniers instants, l’espoir était là, mais entre des fautes évitables et des décisions hasardeuses, l’issue s’est avérée amère. Si Marcos Kremer, Fritz Lee, et Rob Simmons avaient réussi à tirer leur épingle du jeu, Raka et Urdapilleta s’étaient déjà retrouvés en bas de l’échelle, avec des performances qui vont nécessiter une bonne dose de réflexion et de travail pour rebondir.
Et maintenant ?
Après un tel weekend, il est temps de se remettre en question pour Clermont. Les prochains matchs seront cruciaux et Clermont va devoir montrer de quoi l’équipe est capable.
Les fans attendent une réaction, une vraie. Ils veulent voir une équipe de Clermont qui se bat, qui ne lâche rien et qui revient sur le terrain avec l’envie de mordre dans le ballon. Le Top 14 est loin d’être fini et chaque match est une chance de se racheter.
Marco, avec lui, tu ressens chaque match comme si t’étais dans les tribunes, la tension, l’excitation, la joie des grands jours. Il a cette manière unique de raconter les matchs, te faisant vibrer au rythme du ballon ovale. Marco, c’est notre conteur, celui qui sait transformer un match en légende.
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