La dernière journée du Tournoi des Six Nations 2024 promet un suspense insoutenable. À l’aube de cette ultime confrontation, Irlande, Angleterre, Écosse et France nourrissent encore l’espoir de s’adjuger le trophée. Chacune de ces équipes possède son destin en main, avec des scénarios variés et haletants pour s’emparer de la couronne européenne.
L’Irlande à un pas du doublé
Leaders du tournoi, les Irlandais ont leur sort entre leurs mains. Un succès face à l’Écosse, un match nul ou même une défaite assortie d’un bonus défensif pourrait leur assurer le titre. Ils devraient toutefois veiller à ce que l’Angleterre ne triomphe pas de la France par une marge supérieure à 83 points sans bonus, si défaite il y a sans point bonus.
L’Angleterre en embuscade
Pour l’Angleterre, la mission est claire mais loin d’être simple : battre la France avec un bonus offensif est impératif. Et pour que la coupe leur soit attribuée, ils devront espérer un faux pas de l’Irlande contre l’Écosse. Une équation compliquée, qui pourrait voir le jour dans un alignement parfait des étoiles.
L’Ecosse, outsider mais pas sans espoir
L’Écosse, après un tournoi en dents de scie, garde une chance de triomphe. Une victoire écrasante sur l’Irlande par 39 points d’écart, sans concéder de bonus offensif, couplée à une défaite de la France face à l’Angleterre, leur ouvrirait les portes de la gloire. Un scénario digne d’un roman, mais en rugby, la magie opère parfois là où on l’attend le moins.
La France entre rêve et réalité
Pour la France, l’équation est complexe mais pas désespérée. Une victoire bonifiée contre l’Angleterre, et une défaite de l’Irlande sans bonus face à l’Écosse sont les clefs d’un possible sacre. Un défi de taille, qui nécessiterait un alignement des planètes et une performance historique.
La journée de samedi s’annonce électrique, avec des matches décisifs où chaque point, chaque essai peut faire basculer le destin d’une équipe. Le Tournoi des Six Nations 2024 réserve son lot de surprises et aucun pronostic n’est gravé dans le marbre
J’ai grandi dans une famille où le rugby était de tous les moments. J’étais au bord du terrain quand Castres a battu Pau et a rejoint l’élite, j’étais dans le Stade Pierre Antoine face à Gary Whetton quand il a fait son Haka pour célébrer le Brennus de 1993 et j’ai toujours été bercé des légendes de ce sport. Maintenant, c’est avec XV Ovalie que j’entends prolonger l’aventure. #TeamCO