Vendredi soir, sous les projecteurs du Hameau, le rêve des Bleuets a pris l’eau face à l’Angleterre, avec un score final de 31-45. Une fin qui pique pour nos jeunes espoirs au Tournoi des Six Nations.
Un départ canon, mais après ?
Le match avait pourtant bien commencé. Avec des gars comme Posolo Tuilagi qui rentraient enfin dans l’arène, on y croyait. 21-12 à la mi-temps, les Bleuets étaient devant, et on imaginait déjà finir en beauté. Mais voilà, la seconde période n’a pas suivi le même script.
La seconde mi-temps, le film d’horreur
Discipline aux abonnés absents, ballons qui glissent comme du savon… Les 16 pénalités et 20 en-avants, c’était cadeau pour les Rosbifs, qui n’ont pas raté l’occasion de nous passer devant. Et cette histoire de ballon qu’on arrive pas à tenir, ça a fini par nous coûter cher.
Performances individuelles : entre éclat et ombre
Si Tuilagi a brillé par moments, d’autres, comme Marko Gazzotti et Théo Attissogbe, ont connu des passages plus difficiles, oscillant entre efforts défensifs et erreurs stratégiques. Malgré une volonté évidente de bien faire, le collectif n’a pas toujours trouvé sa cohérence, laissant entrevoir des lacunes dans la préparation et l’exécution.
Vers une remise en question
Cette défaite soulève des interrogations quant à la capacité de l’équipe à maintenir son niveau tout au long de 80 minutes. La discipline et la gestion de la pression semblent être les principaux axes d’amélioration pour cette jeune formation. L’expérience de ce tournoi, malgré ses déceptions, sera sans doute une leçon précieuse en vue des défis à venir.
Sébastien Calvet, le sélectionneur, a qualifié le tournoi de “cauchemar”, soulignant les difficultés rencontrées par son équipe, tant sur le plan individuel que collectif.

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