Ce week-end, c’est chaud bouillant en demi-finale du Top 14 avec l’Union Bordeaux-Bègles (UBB) et le Stade Français qui se disputent une place en finale.
Petit tour d’horizon des enjeux et des dernières nouvelles des deux camps.
Tameifuna sur la touche, Garcia à la manœuvre pour l’UBB
Mauvaise nouvelle pour l’UBB : Ben Tameifuna ne sera pas de la partie.
Touché à l’épaule lors du quart de finale contre le Racing 92, le solide pilier tongien doit rester au repos. Yannick Bru, l’entraîneur bordelais, mise donc sur le jeune Mateo Garcia pour tenir la baraque à l’ouverture, malgré ses pépins physiques. Autant dire que l’UBB va devoir se serrer les coudes pour tenter de décrocher une place en finale.
Rory Kockott, le joker de luxe du Stade Français
Du côté du Stade Français, on compte sur l’expérience de Rory Kockott. Ce vieux briscard est revenu aux affaires cette saison pour filer un coup de main aux Parisiens. Paul Gabrillagues, le capitaine, souligne à quel point la présence de Kockott est cruciale pour les jeunes de l’équipe. Le gars a du vécu et sait comment gérer la pression des grands rendez-vous.
Duel au sommet pour la finale
On s’attend à une belle bataille entre l’UBB et le Stade Français. Les Parisiens, forts de leur défense en béton, affrontent les Bordelais, connus pour leur jeu offensif éclatant. La saison a déjà vu deux victoires parisiennes contre l’UBB, mais jouer à domicile au Matmut Atlantique pourrait bien booster les ambitions bordelaises. Ce match, c’est une chance unique de se rapprocher de la finale tant convoitée.
Une place en finale dans la balance
La finale au Stade de France est en ligne de mire. Pour le Stade Français, ce serait un retour en finale après 2015. Pour Bordeaux, ce serait carrément historique. Une chose est sûre : ce match promet du spectacle et beaucoup d’émotion pour les supporters des deux équipes.
J’ai grandi dans une famille où le rugby était de tous les moments. J’étais au bord du terrain quand Castres a battu Pau et a rejoint l’élite, j’étais dans le Stade Pierre Antoine face à Gary Whetton quand il a fait son Haka pour célébrer le Brennus de 1993 et j’ai toujours été bercé des légendes de ce sport. Maintenant, c’est avec XV Ovalie que j’entends prolonger l’aventure. #TeamCO