Benjamin Urdapilleta, l’ouvreur international argentin, a fait ses débuts avec Clermont, après avoir quitté le Castres Olympique. Son arrivée à Clermont et ses premières performances ont suscité de nombreuses réactions, tant de la part de ses coéquipiers que des supporters.
Un début prometteur
Dès son premier match sous le maillot clermontois contre Perpignan au Stade Marcel-Michelin, Urdapilleta a su montrer sa valeur. Avec treize points marqués lors de cette rencontre, il a rapidement gagné le respect et l’admiration de la Yellow Army. Sa capacité à réguler le rythme du jeu, à savoir quand accélérer ou ralentir, a été particulièrement remarquée.
À 37 ans, Urdapilleta ne manque pas d’expérience. Loin de se laisser intimider, il a su répondre présent, montrant ainsi son engagement et sa détermination.
Les éloges de ses coéquipiers
Joris Jurand, coéquipier à l’AS Clermont Auvergne, n’a pas tari d’éloges à son égard. Selon lui, Urdapilleta est le “patron” ou “boss” de l’équipe. Son rôle de régulateur du jeu est essentiel pour l’équipe, et sa capacité à montrer l’exemple est indéniable.
Une collaboration fructueuse avec Urios
Christophe Urios, l’entraîneur de l’AS Clermont Auvergne, semble avoir trouvé en Urdapilleta le joueur idéal pour sa stratégie. La collaboration entre les deux hommes promet d’être fructueuse. Urios voit en Urdapilleta un champion, soulignant son professionnalisme à l’entraînement.
L’arrivée de Benjamin Urdapilleta à l’AS Clermont Auvergne marque le début d’une nouvelle ère pour l’équipe. Avec son expérience, sa détermination et son talent, il est sans aucun doute l’un des joueurs clés de cette saison.
J’ai grandi dans une famille où le rugby était de tous les moments. J’étais au bord du terrain quand Castres a battu Pau et a rejoint l’élite, j’étais dans le Stade Pierre Antoine face à Gary Whetton quand il a fait son Haka pour célébrer le Brennus de 1993 et j’ai toujours été bercé des légendes de ce sport. Maintenant, c’est avec XV Ovalie que j’entends prolonger l’aventure. #TeamCO