Le manager de l’ASM Clermont, Christophe Urios, semble bien parti pour prolonger son contrat avec le club jusqu’en 2028. Arrivé en janvier 2023, il avait rapidement redressé la situation en assurant une qualification pour la Champions Cup à la fin de la saison dernière.
Malgré ce succès apparent, Urios a récemment exprimé son agacement après la victoire contre Bayonne (26-10) en soulignant les lacunes et le manque d’exigence de son équipe.
« On est en rodage, mais il ne faut pas que cela dure six mois », a-t-il déclaré après ce match. (Source : Rugbyrama)
Une prolongation de trois ans, ou rien
Initialement sous contrat jusqu’en 2025, Urios avait une saison supplémentaire en option. Il avait clairement affirmé qu’il ne comptait pas activer cette option.
Il a déclaré qu’il préférait prolonger de trois ans ou quitter le club pour un autre projet. Les négociations avec le président de Clermont ont repris récemment, et les discussions semblent positives. Le manager espère continuer à développer son influence dans un club où il s’est déjà imposé en seulement 20 mois.
« Soit je prolonge, soit je ne prolonge pas », avait-il expliqué début septembre. (Source : L’Équipe)
Une équipe en progression
Depuis son arrivée, Christophe Urios a vu Clermont progresser régulièrement. Passé d’une 10e place en 2022-2023 à une qualification européenne, le club a entamé cette saison 2024-2025 avec deux victoires et une défaite. Ce bon début de saison semble avoir renforcé la confiance des dirigeants en leur manager, ouvrant la voie à cette prolongation attendue jusqu’en 2028.
Avec Urios à sa tête pour les prochaines années, l’ASM pourrait retrouver les sommets du Top 14, qu’ils n’ont plus atteints depuis leur dernière finale en 2019.
« Une prolongation serait une étape importante pour la stabilité du club et son ambition de redevenir un acteur majeur du rugby français », selon une source interne.
Clermont continue donc son ascension, et la présence d’Urios sur le long terme pourrait s’avérer déterminante pour franchir un cap supplémentaire.
J’ai grandi dans une famille où le rugby était de tous les moments. J’étais au bord du terrain quand Castres a battu Pau et a rejoint l’élite, j’étais dans le Stade Pierre Antoine face à Gary Whetton quand il a fait son Haka pour célébrer le Brennus de 1993 et j’ai toujours été bercé des légendes de ce sport. Maintenant, c’est avec XV Ovalie que j’entends prolonger l’aventure. #TeamCO
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