Le mythique deuxième-ligne néo-zélandais Sam Whitelock s’offre un dernier tour de piste avec les Barbarians britanniques face aux Fidji le 22 juin à Twickenham. C’est une chance inespérée pour les fans de le voir jouer encore une fois.
Une légende dit au revoir
Whitelock, avec ses 153 sélections pour les All Blacks et ses deux titres de champion du monde, avait officiellement pris sa retraite après avoir terminé la saison avec la Section Paloise.
Mais le destin lui offre un dernier match. À 35 ans, il rejoindra les Barbarians, une équipe qui a toujours été synonyme de spectacle et de camaraderie, pour un affrontement qui s’annonce palpitant contre les Fidjiens.
Les Barbarians : le dernier chapitre
Les Barbarians britanniques ne sont pas une équipe comme les autres. Ils rassemblent des joueurs de classe mondiale, invités à partager une expérience unique et à jouer un rugby sans pression, axé sur le plaisir et l’offensive. Aux côtés de Whitelock, des joueurs comme Danny Care, Ben Youngs, et Zach Mercer compléteront cette équipe de stars pour ce match de gala.
Une dernière danse à Twickenham
Ce dernier match de Whitelock se déroulera à Twickenham, le temple du rugby anglais. Le coup d’envoi sera donné à 18h15, après une première rencontre où les Springboks, champions du monde en titre, affronteront le pays de Galles. Une journée de rugby intense et une belle opportunité de rendre hommage à une carrière exceptionnelle.
Une carrière remplie de gloire
Avec une carrière riche en succès, Sam Whitelock est un géant du rugby. Il a remporté la Coupe du monde en 2015 et 2019, et a marqué l’histoire en jouant trois finales de Coupe du monde. Ce dernier match avec les Barbarians est une chance de célébrer ses exploits et de lui dire un dernier adieu sur le terrain.
Twickenham vibrera certainement pour ce dernier tour de piste, une ultime occasion de voir ce joueur légendaire en action avant de lui dire au revoir pour de bon.
Marco, avec lui, tu ressens chaque match comme si t’étais dans les tribunes, la tension, l’excitation, la joie des grands jours. Il a cette manière unique de raconter les matchs, te faisant vibrer au rythme du ballon ovale. Marco, c’est notre conteur, celui qui sait transformer un match en légende.
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