Quelle journée pour l’USAP ! Avec un score de 43-12 contre Castres, disons-le franchement, ils n’ont pas fait dans la dentelle. C’était à Aimé-Giral et pour les Catalans, c’était un peu comme si Noël était arrivé en avance.
Pas de quartier dès le début
Dès les premières minutes, on a senti que l’USAP n’était pas là pour tricoter. Ils ont mis le turbo et bam, Castres a vite compris que ça n’allait pas être leur jour. Tavite Veredamu, avec un doublé, et Jake McIntyre, en maestro du jeu, ont commencé le festival.
Et Castres dans tout ça ? Eh bien, ils ont semblé un peu perdus, comme des touriste sans carte. Ils ont essayé, c’est sûr, mais entre les mains qui tremblent et les passes dans le vide, difficile de tenir le rythme.
Les stars du match
On ne va pas tourner autour du pot : Jacobus Van Tonder a été partout. L’homme semblait avoir des ressorts dans les jambes et une envie de montrer qui est le boss sur le terrain.
Et puis, il y a eu Kelian Galletier et Lucas Dubois, les gars qui ont ajouté cette touche de magie supplémentaire. Leur jeu a été aussi fluide que de l’eau de roche, prouvant que l’USAP, c’est du sérieux.
Après le match, entre joie et réflexion
Franck Azéma, le boss de l’USAP, avait ce sourire qui en disait long. Fier de ses troupes, il rappelle quand même que la route est encore longue. Faut rester dans le match, comme on dit.
Côté Castres, c’est un peu la tête basse mais pas résignés. Jeremy Davidson, leur coach, reconnaît que ça a été dur mais insiste sur le fait de ne pas baisser les bras.
Et maintenant ?
Cette victoire, c’est du bonbon pour l’USAP et ça les place bien pour la suite. Pour Castres, c’est retour au tableau noir et on se remonte les manches. Le Top 14, c’est pas une promenade de santé et chaque match compte.
Alors oui, c’était un samedi où l’USAP a fait parler la poudre. Mais le championnat, c’est encore long, et on sait tous que dans le rugby, tout peut changer très vite.
Marco, avec lui, tu ressens chaque match comme si t’étais dans les tribunes, la tension, l’excitation, la joie des grands jours. Il a cette manière unique de raconter les matchs, te faisant vibrer au rythme du ballon ovale. Marco, c’est notre conteur, celui qui sait transformer un match en légende.