Le 22 février, un épisode digne d’une série télé s’est joué près du stade Aguilera. Au cœur de l’action, Jean-Baptiste Aldigé, le président du Biarritz Olympique, et Michel Bonnemaison, figure respectée et octogénaire, ancien du conseil d’administration.
D’après M. Bonnemaison, Aldigé aurait lancé les hostilités, ce qui a mené à une petite danse des poings en mode auto-défense et à un festival d’insultes.
Entre soutien et mystère
Suite à cette embrouille, M. Bonnemaison a filé droit au poste pour une main courante, sans aller jusqu’à la plainte. Mais ça n’a pas empêché les messages de soutien de pleuvoir, montrant que le club, c’est aussi une grande famille, parfois un peu divisée. Quant au pourquoi du comment de cette prise de bec, c’est encore l’heure des hypothèses, avec une petite note sur des loyers qui auraient joué les fantômes.
Aldigé, lui, joue la carte du “je ne vois pas de quoi vous parlez”, estimant que tout ça, c’est juste pour lui faire de l’ombre et ternir l’image du club.
Un petit air de déjà-vu
Cette histoire, c’est un peu le reflet des tiraillements qu’on peut trouver dans pas mal de clubs, où l’ancien monde et le nouveau se cherchent, se trouvent, et parfois, se cognent. La réputation, c’est le nerf de la guerre, et dans ce cas, Aldigé semble prêt à tout pour la sienne et celle de son club.
L’épisode entre Aldigé et Bonnemaison nous rappelle que derrière les matchs et les essais, il y a des humains, avec leurs passions, leurs colères et leur besoin de se sentir soutenus par leur communauté.
Et si quelque chose ressort de tout ça, c’est bien l’importance de rester soudés, même quand le vent souffle fort.
J’ai grandi dans une famille où le rugby était de tous les moments. J’étais au bord du terrain quand Castres a battu Pau et a rejoint l’élite, j’étais dans le Stade Pierre Antoine face à Gary Whetton quand il a fait son Haka pour célébrer le Brennus de 1993 et j’ai toujours été bercé des légendes de ce sport. Maintenant, c’est avec XV Ovalie que j’entends prolonger l’aventure. #TeamCO
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