Quand le public français oublie l’esprit rugby

L’ambiance était électrique au Stade Pierre-Mauroy ce dimanche, mais pas que pour les bonnes raisons. Pendant le match France-Italie, fini sur un score de parité 13-13, un truc a un peu gâché la fête : les sifflets du public contre les Italiens. Ange Capuozzo, l’arrière de la Squadra Azzurra et du Stade Toulousain, n’a pas mâché ses mots pour décrire le tableau.

Un appel au respect dans le rugby

Capuozzo, qui a mis les pieds dans le plat après le match, était clairement déçu. Pour lui, ces sifflets, surtout pendant les pénalités, ça ne le fait pas. “Ce n’est pas une belle image qu’on renvoie de la France”, a-t-il lancé, rappelant que ce genre de comportement, on ne le voit pas ailleurs. Et franchement, il n’a pas tort. Le rugby, c’est aussi le respect, non ?

Garbisi, entre regret et fair-play

Paolo Garbisi, celui qui aurait pu changer la donne avec son coup de pied, ne s’est pas caché derrière les sifflets pour expliquer son raté. “Je m’en veux beaucoup”, a-t-il dit, assumant complètement. Pas de faute sur les Français qui bougeaient, pas d’excuses. Juste ce sentiment amer d’une victoire qui lui a glissé des doigts.

Et maintenant ?

Ce match, c’était du rugby de haut niveau, avec tout ce qu’on aime : de l’intensité, du suspense et un brin de controverse. Mais si on pouvait garder les sifflets pour les concerts, ce serait pas mal, non ? Ange Capuozzo et ses coéquipiers ont montré du courage, et ils méritaient peut-être un peu plus de respect. Après tout, le rugby, c’est la grande famille où le fair-play doit toujours rester en première ligne. Alors, espérons que ce petit couac à Lille reste une exception et non la règle. Le rugby, c’est le respect, avant tout.

marco

Marco, avec lui, tu ressens chaque match comme si t’étais dans les tribunes, la tension, l’excitation, la joie des grands jours. Il a cette manière unique de raconter les matchs, te faisant vibrer au rythme du ballon ovale. Marco, c’est notre conteur, celui qui sait transformer un match en légende.