Clermont vient de vivre une journée pour le moins cauchemardesque à l’entraînement, avec une série de blessures qui tombe au pire moment, juste avant le gros match contre le Racing 92. Le cas d’Urdapilleta fait particulièrement jaser : l’ouvreur star claque une cuisse et dit adieu au terrain pour un bon bout de temps. Ça fait mal, surtout à ce moment de la saison.
Quel coup dur !
Avec Urdapilleta sur le flanc, c’est toute la stratégie de Clermont qui prend un coup. L’Argentin, c’est pas juste un joueur, c’est un pilier, et le voir hors jeu, ça change la donne. Fritz Lee et Sébastien Bézy aussi, blessés dans la même galère, ça rajoute à la gueule de bois.
La tuile s’agrandit
Comme si ça suffisait pas, la liste des gars à l’infirmerie s’allonge comme la queue devant une boulangerie un dimanche matin. Marcos Kremer fait ses valises pour l’Argentine, et derrière, c’est un défilé : de Cristian Ojovan suspendu à Aliverité Raka, Pierre Fouyssac, Enzo Sanga, et Etienne Falgoux, tous aux abonnés absents pour le prochain match. Pas l’idéal, hein.
Faut trouver des solutions, et vite !
Face à cette hécatombe, Clermont est dans l’obligation de se réinventer. Sans Urdapilleta, qui va prendre le relais ? La question est sur toutes les lèvres. Cette équipe a du caractère, c’est sûr, mais là, c’est un vrai test. Les fans, eux, croisent les doigts et espèrent que les Jaune et Bleu trouveront la formule magique pour affronter la tempête.
L’heure est à la débrouille, et à Clermont, on sait faire. Faut s’accrocher, rester soudés, et surtout, garder le cap. La route est encore longue, et avec ou sans Urdapilleta, le show doit continuer.
J’ai grandi dans une famille où le rugby était de tous les moments. J’étais au bord du terrain quand Castres a battu Pau et a rejoint l’élite, j’étais dans le Stade Pierre Antoine face à Gary Whetton quand il a fait son Haka pour célébrer le Brennus de 1993 et j’ai toujours été bercé des légendes de ce sport. Maintenant, c’est avec XV Ovalie que j’entends prolonger l’aventure. #TeamCO