Décidément, le Section Paloise sort les crocs. Cette saison, les Béarnais réalisent un exercice satisfaisant et peuvent encore se qualifier pour les phases finales. Cela rélèverait cependant de l’exploit, les pensionnaires du Hameau étant dans l’obligation de battre La Rochelle, sixième et premier qualifiable, avec le bonus offensif. Des Maritimes qui sont, pour ne rien arranger, sur une série impressionnante de victoires.
Si rien n’est impossible en sport, l’affaire s’annonce toutefois compliquée. Mais les protégés de Sébastien Piqueronnies auront à cœur de bien terminer devant leur public et assurer une place dans les huit, synonyme de Champions Cup.
Depuis sa remontée en 2015, la Section Paloise n’a jamais réussi à se qualifier et oscille entre cette septième et douzième place. La saison prochaine, les dirigeants pyrénéens souhaitent donc faire passer un cap à cette équipe. Et ils s’en donnent les moyens.
Pau va enregistrer la venue de Laclayat
Notamment devant. Les Palois ont enregistré les arrivées des deux internationaux argentins Facundo Isa et Julian Montoya, joueurs de classe mondiale. Mais ils ne comptent pas s’arrêter en si bon chemin. D’après les informations de Midi Olympique, Pau s’apprête à boucler la venue du pilier droit international français, Thomas Laclayat (27 ans, 1 sélection). Arrivé au Racing 92 en 2023 en provenance d’Oyonnax avec le costume de grand espoir au poste, Laclayat n’a jamais réellement réussi à s’imposer dans les Hauts-de-Seine.
Le bihebdomadaire rapporte que le joueur, sous contrat avec les Franciliens jusqu’en 2026, a demandé à ses dirigeants d’être libéré de sa dernière année pour s’engager avec la Section. Laclayat va donc parapher un bail de deux ans avec le club de la cité béarnaise et remplacer numériquement Harry Williams, de retour aux Harlequins. Cette signature entérine-t-elle la piste Taniela Tupou, le droitier australien ayant un temps été annoncé du côté de Pau ? Pas sûr, affaire à suivre.
Biberonné au rugby, tombé malade de ce sport lors de la Coupe du Monde 2003, alors que je savais à peine marcher, je suis le seul sudiste ayant renié le Stade Toulousain pour l’autre Stade… Français. Condamné à souffrir avec mon club de cœur, j’espère vous transmettre mon amour pour la balle ovale à travers XV Ovalie !