Stuart Lancaster, à la barre du Racing 92, va jouer gros avec l’arrivée d’Owen Farrell, un des gros calibres du rugby anglais. Il le connaît bien, Farrell ayant déjà été sous ses ordres chez les Saracens et en équipe nationale.
Mais intégrer une star comme Farrell, habitué aux joutes anglaises, dans un vestiaire déjà bien fourni avec des leaders du calibre de Siya Kolisi et Gaël Fickou, c’est pas de la tarte. Lancaster l’avoue lui-même, il va falloir ruser pour que tout se passe bien.
Un challenge de taille avec des enjeux énormes
Farrell pose ses valises à Paris dès le 1er juillet 2024, pile pour la pré-saison. Avec un CV bien rempli et une réputation de meneur, les attentes sont au max. Mais Lancaster ne cache pas son inquiétude : intégrer Farrell à ce nouvel environnement, ça va être du sport. Ils ont déjà commencé à discuter tactique et adaptation, et même si Lancaster est motivé, il reste prudent sur la capacité de Farrell à prendre ses marques.
Gérer les nouveautés, un vieux refrain pour Lancaster
C’est pas la première fois que Lancaster doit intégrer un joueur de renom dans un nouveau cadre. Le Racing, qui tient la troisième place en Top 14, a déjà connu des hauts et des bas cette saison, et l’arrivée de Farrell est vue comme un boost potentiel mais aussi comme un risque. Lancaster a déjà géré ce genre de transition, quand il est passé de l’Angleterre à l’Irlande, donc il sait à quoi s’attendre.
Lancaster et Farrell ont du pain sur la planche, et tout le monde espère que cette nouvelle page sera une réussite pour le club et pour Farrell.
Marco, avec lui, tu ressens chaque match comme si t’étais dans les tribunes, la tension, l’excitation, la joie des grands jours. Il a cette manière unique de raconter les matchs, te faisant vibrer au rythme du ballon ovale. Marco, c’est notre conteur, celui qui sait transformer un match en légende.