Yannick Bru a une manière bien à lui de booster ses troupes. Après avoir roulé sur les Saracens avec un score qui fait rêver (45-12, rien que ça !), il lance un petit pavé dans la mare : “Si on est l’équipe que je connais depuis le début de l’année, contre les Harlequins on va faire un match de mer**.” Oui, vous avez bien lu. Pas question de se laisser aller à l’autocomplaisance pour le manager de l’Union Bordeaux-Bègles.
Bru joue la carte de la psychologie inversée
Au lieu de baigner dans l’euphorie d’une victoire bien méritée, Bru sort l’artillerie lourde de la psychologie inversée. C’est sa manière à lui de dire : “Hé, les gars, on n’a encore rien gagné !” C’est peut-être brutal, mais c’est du Bru tout craché. En gros, il ne veut voir personne se reposer sur ses lauriers. “On est capable du meilleur comme du pire,” semble-t-il rappeler à son équipe, qui alterne entre des prestations de haute volée et des matchs où… c’est pas vraiment ça.
L’esprit d’équipe, ça se travaille au mental aussi
Pour Bru, la bataille se gagne autant dans la tête que sur le terrain. Jouer avec le mental de ses joueurs, les garder affamés et conscients des challenges à venir, c’est sa recette pour construire une équipe solide. Et il sait de quoi il parle. Après tout, naviguer entre des victoires épiques et des défaites frustrantes, ça forge le caractère. “C’est la vie de l’équipe,” dit-il en rigolant. Mais derrière ces mots, y a toute une stratégie.
Les fans, ce pilier invisible
Ne sous-estimez jamais le pouvoir des supporters. Bru le sait bien. Ces moments magiques partagés avec le public, surtout quand le stade Chaban-Delmas se transforme en chaudron bouillant de soutien, c’est de l’or en barre pour le moral des troupes. “Vivre ça avec nos fans, c’est unique,” avoue Bru. C’est cette ambiance de folie qui donne envie de se dépasser, de jouer pour quelque chose de plus grand que soi.
Toujours viser plus haut
Malgré son avertissement plein d’humour, Bru a des étoiles plein les yeux pour son équipe. “On a du chemin à faire, mais on est sur la bonne voie,” résume-t-il. L’objectif ? Se faire une place à la table des grands d’Europe. Et avec un match contre les Harlequins en ligne de mire, l’UBB ne compte pas s’arrêter en si bon chemin.
Marco, avec lui, tu ressens chaque match comme si t’étais dans les tribunes, la tension, l’excitation, la joie des grands jours. Il a cette manière unique de raconter les matchs, te faisant vibrer au rythme du ballon ovale. Marco, c’est notre conteur, celui qui sait transformer un match en légende.