Le MHéraultR, c’est un peu la série à suspense de ce début d’année. Entre guéguerres en costume-cravate et matchs sur le fil, le club nous tient en haleine, mais pas forcément pour les meilleures raisons.
Ça clashe au bureau !
Jessica Casanova (directrice générale) et Bernard Laporte (directeur sportif) se regardent en chiens de faïence. Le gourou du rugby, arrivé avec son aura de sauveur mais qui, en coulisses, semble jouer un autre match que celui attendu… Et pour pimenter le tout, Claude Atcher maraude dans l’ombre, histoire de bien mélanger les cartes.
Et sur le terrain, alors ?
Ah, parce que vous pensiez que le feuilleton se cantonnait aux bureaux ? Raté ! Sur le pré, c’est pas la joie non plus. Champion de France en 2022, le MHR a depuis pris l’ascenseur… mais dans le mauvais sens. Flirtant avec la zone rouge, le club s’est pris une tarte à Toulon (54-7), rien que ça. Autant dire que le prochain match contre le Stade Français sent le soufre.
L’infirmerie ne désemplit pas
Pour ne rien arranger, les avants semblent avoir pris un abonnement groupé à l’infirmerie. Sam Simmonds et Brandon Paenga-Amosa sont sur la touche, laissant Patrice Collazo se gratter la tête pour bricoler un pack d’avants digne de ce nom face au leader parisien.
En route vers le redressement ?
Avec tout ça, le MHR est à un tournant. Le clash des titans en coulisse, c’est rigolo deux minutes, mais si tout le monde tirait dans le même sens, ça ne serait pas mieux ? Le match contre le Stade Français, c’est l’occase de montrer que le club est encore vivant, prêt à sortir les crocs. Mais pour ça, faudrait peut-être commencer par ranger les couteaux dans les tiroirs et se serrer les coudes.

Marco, avec lui, tu ressens chaque match comme si t’étais dans les tribunes, la tension, l’excitation, la joie des grands jours. Il a cette manière unique de raconter les matchs, te faisant vibrer au rythme du ballon ovale. Marco, c’est notre conteur, celui qui sait transformer un match en légende.