Depuis dix ans à la barre, François Rivière ne manque pas d’ambition pour l’USAP. Même si tout roule en championnat, il garde les pieds sur terre et annonce des plans assez costauds pour pousser le club encore plus haut. Au programme ? Augmenter le budget et les salaires.
Sous la direction de Franck Azéma, l’équipe a déjà commencé à déjouer les pronostics. Alors qu’on les voyait lutter pour ne pas descendre, ils pourraient bien se retrouver en phases finales si la bonne série continue. Avec un budget qui devrait frôler les 22 millions d’euros cette année, on parle d’une belle progression.
Patience et stratégie : les mots d’ordre
Rivière joue la carte de la patience. Il sait que se précipiter peut coûter cher en termes de résultats. Malgré les défis, notamment des absences notables en début de saison, il reste confiant, soutenu par une équipe solide et un public passionné.
Ce boost budgétaire n’est pas juste pour faire joli. C’est pour bâtir un banc plus profond, réduire les blessures et montrer que, même sans les moyens d’un géant comme le Stade Toulousain, l’USAP peut se faire une place au soleil.
À quoi s’attendre pour l’USAP ?
Avec l’annonce d’une augmentation de la masse salariale de près de 500 000 euros l’année prochaine, Rivière veut donner à son club les moyens de ses ambitions. Cette montée en puissance est une promesse de plus de compétitivité et peut-être, de plus de trophées.
L’histoire de l’USAP cette saison est un exemple parfait de comment bien gérer et viser haut. Entre prudence et grandes ambitions, François Rivière semble avoir trouvé la formule pour propulser l’USAP vers de nouveaux horizons excitants.
J’ai grandi dans une famille où le rugby était de tous les moments. J’étais au bord du terrain quand Castres a battu Pau et a rejoint l’élite, j’étais dans le Stade Pierre Antoine face à Gary Whetton quand il a fait son Haka pour célébrer le Brennus de 1993 et j’ai toujours été bercé des légendes de ce sport. Maintenant, c’est avec XV Ovalie que j’entends prolonger l’aventure. #TeamCO