Le Qatar ne sera pas l’hôte des premières finales du Championnat des nations de rugby. Bill Sweeney, patron de la Fédération anglaise (RFU), a dévoilé les coulisses de cette décision et esquissé les contours du futur tournoi.
Un lancement en terrain connu
Prévu pour 2026, le Championnat des nations ambitionne de secouer le paysage du rugby international. Malgré une offre généreuse du Qatar, les organisateurs ont privilégié un marché plus traditionnel.
“Ce tournoi a un énorme potentiel. Pour son coup d’envoi, on a besoin d’un lieu accessible dans une région où le rugby est déjà bien implanté”, a expliqué Sweeney à RugbyPass.
Londres se profile à l’horizon
La capitale britannique semble tenir la corde pour accueillir l’événement. “Londres serait une destination naturelle. On pourrait y répartir les matches : trois ici, deux là, et un autre ailleurs dans la ville”, a détaillé le dirigeant.
Compte à rebours lancé
La RFU ne veut pas traîner. “Notre objectif est d’être prêts à lancer le projet d’ici fin 2024, au plus tard fin mars 2025”, a précisé Sweeney.
Si le Qatar est écarté pour le moment, d’autres destinations exotiques ne sont pas exclues à l’avenir. Sweeney a même évoqué les États-Unis comme possible hôte en 2030, à un an de leur Coupe du monde.
Le choix final du site des premières finales devrait être annoncé prochainement, marquant une étape clé dans le lancement de cette nouvelle compétition très attendue.
J’ai grandi dans une famille où le rugby était de tous les moments. J’étais au bord du terrain quand Castres a battu Pau et a rejoint l’élite, j’étais dans le Stade Pierre Antoine face à Gary Whetton quand il a fait son Haka pour célébrer le Brennus de 1993 et j’ai toujours été bercé des légendes de ce sport. Maintenant, c’est avec XV Ovalie que j’entends prolonger l’aventure. #TeamCO