L’automne sera chaud sur les pelouses irlandaises. La Nouvelle-Zélande, l’Australie, l’Argentine, et les Fidji viendront défier l’Irlande dans une série de matchs qui promettent d’être aussi exaltants que déterminants. Un programme dense attend donc les amateurs du ballon ovale, avec des rencontres qui s’échelonneront du 8 au 30 novembre.
Une série de défis à relever
Le coup d’envoi sera donné contre les All Blacks le 8 novembre, un affrontement particulièrement attendu puisqu’il s’agira du premier depuis leur victoire 28-24 contre l’Irlande en quart de finale de la Coupe du monde à Paris. Une semaine plus tard, le 15 novembre, ce sera au tour de l’Argentine de fouler les pelouses irlandaises, suivie par les Fidji le 23 novembre. Le bouquet final de cette série de matchs se tiendra le 30 novembre, lorsque l’Irlande accueillera l’Australie pour un match célébrant le 150ème anniversaire du rugby irlandais.
La présence de Joe Schmidt à la tête de l’équipe australienne, ancien coach de l’Irlande, ajoute un piquant particulier à cette rencontre. Il affrontera Andy Farrell, l’actuel entraîneur-chef de l’Irlande, qui prendra ensuite un congé pour diriger les Lions britanniques et irlandais.
Un passé glorieux, un avenir prometteur
L’Irlande garde un souvenir victorieux des deux dernières confrontations sur son sol contre la Nouvelle-Zélande et a même remporté une série historique en Nouvelle-Zélande en 2022. Ces matchs d’automne représentent donc une opportunité pour l’équipe de tester ses forces et de mesurer son évolution face à certains des adversaires les plus redoutables du monde.
Andy Farrell a exprimé son enthousiasme face à ces confrontations : “Nous attendons avec impatience de nous mesurer à des équipes parmi les plus excitantes du monde, avec lesquelles l’Irlande a des traditions et rivalités fortes.”
Perspectives et enjeux
Ces rencontres seront déterminantes pour l’Irlande, tant sur le plan du classement mondial que pour tester la profondeur et la résilience de son effectif. L’absence temporaire de Farrell sera également un test pour le staff et les joueurs, un défi supplémentaire à relever dans la quête de victoires significatives.
J’ai grandi dans une famille où le rugby était de tous les moments. J’étais au bord du terrain quand Castres a battu Pau et a rejoint l’élite, j’étais dans le Stade Pierre Antoine face à Gary Whetton quand il a fait son Haka pour célébrer le Brennus de 1993 et j’ai toujours été bercé des légendes de ce sport. Maintenant, c’est avec XV Ovalie que j’entends prolonger l’aventure. #TeamCO
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