Le XV de France et l’Italie se sont quittés bons amis avec un score de parité (13-13). Un événement inédit dans le Tournoi des Six Nations qui laisse un peu notre équipe nationale sur sa faim. Jouer à 14 pendant une bonne moitié du match, ça n’aide pas, mais ça n’excuse pas tout.
Un match, des frissons et des si
Dès le début, on a senti que ça allait être tendu. Charles Ollivon plante un essai, Thomas Ramos ajoute quelques points au pied, mais l’écart ne se creuse pas comme espéré. Les Italiens, pas vraiment flamboyants mais accrocheurs, profitent de chaque petite bourde française.
La sortie de Matthieu Jalibert et le carton rouge de Jonathan Danty n’ont pas arrangé nos affaires. La deuxième mi-temps ? Une quête désespérée des Bleus pour reprendre le dessus, avec plus de cœur que de réussite.
Les Bleus cherchent la clé
Le match a mis le doigt sur quelques soucis : finir les actions, garder son calme, et surtout, marquer quand il le faut. Gaël Fickou l’a dit, trop d’occasions ratées. Et quand Paolo Garbisi rate la pénalité de la gagne pour l’Italie, on respire, mais on n’est pas fiers.
Et maintenant ?
Ce nul, c’est un peu la douche froide. Mais c’est aussi l’occasion de se secouer les plumes. Les Bleus ont du boulot : retrouver une attaque percutante, serrer la vis en défense et surtout, jouer ensemble. Le Tournoi des Six Nations n’est pas fini, et c’est maintenant que tout se joue.

Marco, avec lui, tu ressens chaque match comme si t’étais dans les tribunes, la tension, l’excitation, la joie des grands jours. Il a cette manière unique de raconter les matchs, te faisant vibrer au rythme du ballon ovale. Marco, c’est notre conteur, celui qui sait transformer un match en légende.