C’est la question qui brûle les lèvres de tous les fans de rugby : les All Blacks vont-ils à nouveau se faire tailler en pièces par les Springboks ? Le match à Johannesburg ce samedi s’annonce chaud bouillant.
Les Kiwis dans la sauce
Faut dire que la dernière fois, c’était pas jojo pour les gars en noir : 35-23 pour les boks. Robertson, le coach néo-zélandais, doit se faire des cheveux blancs.
Le site Stuff a sondé les Néo-Zélandais, et c’est serré :
- 52% pensent que les All Blacks vont se ramasser
- 48% y croient encore
Pourquoi ça sent le roussi ?
Y’a plusieurs trucs qui font que ça craint pour les Kiwis :
- L’altitude : Johannesburg, c’est haut, et ça pique les poumons.
- La pression : Après s’être fait humilier, les All Blacks ont la trouille.
- L’ambiance : Les Sud-Afs vont gueuler comme des malades dans les gradins.
- Les compos : Faudra voir qui les coachs alignent, ça peut tout changer.
Les All Blacks veulent sauver les meubles
Sam Cane, le capitaine, a admis qu’ils s’étaient manqués sévère la dernière fois. Ils ont bossé comme des dingues pour ne pas se faire rétamer à nouveau.
Le retour de Beauden Barrett, ça peut faire des étincelles. Et les jeunes comme Will Jordan, ils ont la dalle et veulent prouver qu’ils ont leur place.
Les Boks se la pètent (un peu)
Les champions du monde se la jouent cool, mais ils savent que les All Blacks, même quand ils sont dans le dur, ça reste des sacrés clients. Rassie Erasmus, leur coach, n’arrête pas de répéter qu’il faut pas les prendre de haut.
Leur pack de béton avec des monstres comme Eben Etzebeth et Siya Kolisi, ça fait flipper. Ils vont sûrement encore jouer à coup de grands coups de pompe et de plaquages à t’en décoller la rétine.
Un match qui compte pour la suite
Même si la prochaine Coupe du monde est encore loin, ce match va donner le ton pour les années à venir. Qui va prendre l’ascendant psychologique ?
Bref, que vous soyez team haka ou team gueulante sud-af, faudra être devant votre écran pour ce choc.
J’ai grandi dans une famille où le rugby était de tous les moments. J’étais au bord du terrain quand Castres a battu Pau et a rejoint l’élite, j’étais dans le Stade Pierre Antoine face à Gary Whetton quand il a fait son Haka pour célébrer le Brennus de 1993 et j’ai toujours été bercé des légendes de ce sport. Maintenant, c’est avec XV Ovalie que j’entends prolonger l’aventure. #TeamCO