Samedi, ça va chauffer à Lyon ! Le XV de France se frotte à l’Angleterre pour clore en beauté le Tournoi des 6 Nations. Après avoir roulé sur le Pays de Galles, les Bleus, encore sous le coup d’une Coupe du Monde pour le moins compliquée, veulent enchaîner. Patrick Arlettaz, notre gourou de l’attaque, se dit prêt mais garde un œil ouvert.
On remonte la pente
Les Bleus semblent avoir retrouvé leurs marques, surtout après leur démo au Pays de Galles. Mais face à l’Angleterre, ça ne sera pas du gâteau, surtout que les anglais arrivent aussi gonflés à bloc après avoir mis à terre l’Irlande. Pour Arlettaz, c’est clair : gagner ce match, c’est aussi l’occase de montrer qu’on est sur la bonne voie.
Arlettaz, le mec qui ne change pas
Débarqué dans l’équipe dans un timing pas évident, Patrick Arlettaz a vite mis tout le monde d’accord avec son style bien à lui. Franc-parler, authenticité et une pincée d’humour, il n’a rien changé à sa recette, convaincu que c’est comme ça qu’il apporte le plus. Les joueurs ont mordu à l’hameçon, et son impact se sent déjà.
Le match qui compte
L’Angleterre, c’est toujours spécial. Plus qu’un match, c’est une histoire de fierté, de passion, et Arlettaz le sait. Il admet que le rugby, c’est compliqué, mais il est à bloc pour relever le défi. La belle victoire galloise ? Juste un début. Face aux Anglais, il faudra mettre les bouchées doubles.
On garde ce qui marche
Pour Arlettaz, pas question de tout chambouler. La stabilité, c’est le maître mot. Convaincu que les bons changements sont ceux qu’on fait avec parcimonie, il parie sur la continuité pour booster la confiance et l’esprit d’équipe. L’objectif ? Transformer l’essai gallois en une habitude de victoire.
Ce samedi, le XV de France joue gros. Avec Arlettaz aux manettes, l’ambition est claire : montrer que les récentes turbulences sont derrière et que l’avenir s’annonce radieux. Face à l’Angleterre, on ne joue pas seulement pour la victoire, mais pour confirmer un renouveau. Allez les Bleus, c’est le moment de briller !
J’ai grandi dans une famille où le rugby était de tous les moments. J’étais au bord du terrain quand Castres a battu Pau et a rejoint l’élite, j’étais dans le Stade Pierre Antoine face à Gary Whetton quand il a fait son Haka pour célébrer le Brennus de 1993 et j’ai toujours été bercé des légendes de ce sport. Maintenant, c’est avec XV Ovalie que j’entends prolonger l’aventure. #TeamCO
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