Les Bleus se préparent à affronter la Nouvelle-Zélande ce samedi avec des nouvelles contrastées concernant l’état des joueurs. Antoine Dupont et Thibaud Flament sont finalement aptes à jouer, tandis que Uini Atonio doit déclarer forfait en raison de douleurs persistantes au mollet, une absence confirmée par William Servat, l’entraîneur des avants du XV de France (L’Équipe).
Dupont et Flament sur le terrain, malgré des pépins
Malgré un léger souci de santé pour Dupont et une douleur pour Flament, les deux joueurs sont confirmés pour le match.
William Servat a rassuré sur leur état, précisant que Dupont, en reprise après une petite maladie, et Flament, touché à la crête iliaque contre le Japon, ont été ménagés cette semaine mais seront bien présents pour ce choc tant attendu.
Une chance pour Tatafu de prouver sa valeur
L’absence d’Uini Atonio, en phase de récupération pour des douleurs au mollet, offre à Tevita Tatafu l’opportunité de se faire une place.
Le jeune pilier bayonnais a déjà impressionné lors de son premier match contre le Japon, et le staff français semble confiant dans ses capacités pour affronter la solide mêlée néo-zélandaise. William Servat a d’ailleurs souligné son potentiel et son engagement, estimant qu’il est prêt pour ce défi de taille.
Une composition ajustée pour un match crucial
Les Bleus doivent également composer sans Damian Penaud et François Cros, contraints de renoncer pour cause de blessures. Romain Buros fera sa première apparition en tant que titulaire à l’arrière, épaulé par Louis Bielle-Biarrey et Gabin Villière. Avec cette composition remaniée, le XV de France compte sur ses cadres, dont Charles Ollivon, Antoine Dupont, et Gaël Fickou, pour maintenir la dynamique et gérer la pression face aux All Blacks.
Un défi de taille pour des Bleus déterminés
Ce rendez-vous au Stade de France représente un test majeur dans la tournée automnale des Français. Face à une équipe néo-zélandaise redoutable, les Bleus devront rester disciplinés et mettre en avant leur fraîcheur et leur intensité. L’absence de certains cadres pèse, mais elle ouvre aussi la voie à de jeunes joueurs prometteurs, désireux de prouver leur place dans cette équipe.
J’ai grandi dans une famille où le rugby était de tous les moments. J’étais au bord du terrain quand Castres a battu Pau et a rejoint l’élite, j’étais dans le Stade Pierre Antoine face à Gary Whetton quand il a fait son Haka pour célébrer le Brennus de 1993 et j’ai toujours été bercé des légendes de ce sport. Maintenant, c’est avec XV Ovalie que j’entends prolonger l’aventure. #TeamCO