Le Qatar met le paquet pour accueillir les finales de la Nations Cup de rugby à partir de 2026, et ça fait jaser. Un contrat de 900 millions d’euros sur huit ans pour transformer un tournoi de rugby en quelque chose qui ressemblerait au Superbowl. C’est ambitieux, c’est énorme, mais ça pose pas mal de questions.
Est-ce qu’on assiste à une révolution dans le monde du rugby ou juste à une démonstration de force financière ?
Un show à l’américaine, mais pour le rugby ?
Le plan ? Faire des finales de la Nations Cup un mega événement à Doha, avec le fameux Lusail Stadium en vedette. On nous promet du grand spectacle et des retombées économiques solides. Mais franchement, est-ce qu’on peut vraiment appliquer la recette du Superbowl au rugby sans perdre l’âme de notre sport ?
Ça divise dans les vestiaires
L’idée du Qatar ne laisse personne indifférent. Il y a ceux qui y voient une chance de mettre le rugby sur le devant de la scène mondiale et d’engranger des fonds bien nécessaires. Et puis, il y a ceux qui tiquent un peu : trop de fric, trop commercial, et puis il y a toujours ces histoires de conditions de travail là-bas… Est-ce que le jeu en vaut la chandelle ?
Et maintenant, on fait quoi ?
Les grands manitous du rugby, des Six Nations à la Sanzaar, ont du pain sur la planche. Ils doivent décider si le futur du rugby international va se jouer au Qatar. Ça pourrait carrément changer la donne pour notre sport.
Alors, est-ce qu’on fonce tête baissée vers ce nouveau format, ou est-ce qu’on reste fidèle à nos traditions ? Le débat est lancé, et chaque fan de rugby a probablement son mot à dire.
J’ai grandi dans une famille où le rugby était de tous les moments. J’étais au bord du terrain quand Castres a battu Pau et a rejoint l’élite, j’étais dans le Stade Pierre Antoine face à Gary Whetton quand il a fait son Haka pour célébrer le Brennus de 1993 et j’ai toujours été bercé des légendes de ce sport. Maintenant, c’est avec XV Ovalie que j’entends prolonger l’aventure. #TeamCO
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