Ce samedi, ça va chauffer au GGL Stadium ! On a d’un côté les gars du MHR, qui se trimballent une liste de blessés longue comme le bras, et de l’autre, les Parisiens du Stade Français, en mode bulldozer cette saison. Sans prendre parti, on peut dire que ça promet du spectacle.
L’infirmerie déborde à Montpellier
Pour commencer, Sam Simmonds et sa bande ne sont pas au top de leur forme. Entre petits bobos et gros pépins, le staff de Montpellier doit jouer à Tetris pour composer son équipe. Marco Tauleigne et ses soucis de mollet, sans oublier notre duo Brandon Paenga-Amosa et Luka Japaridze, tous hors service. Ça commence bien…
Un MHR en quête de rédemption
Après s’être pris une valise contre Toulon, les Montpelliérains sont un peu dans le dur. Pendant ce temps-là, les Parisiens du Stade Français caracolent en tête, forts de leurs victoires à répétition. La pression est palpable, mais après tout, c’est le jeu.
Le GGL, une forteresse imprenable ?
Les Montpelliérains aiment rappeler qu’ils n’ont pas perdu chez eux cette année. C’est vrai, le GGL Stadium est une sorte de fort Alamo du rugby. Mais face à des Parisiens en grande forme, le soutien du public local va être crucial. Ça va, on a compris, vous êtes chez vous !
Un match sans favoris
Florian Verhaeghe est de retour dans l’arène pour Montpellier, un atout non négligeable. Mais soyons honnêtes, face à une équipe du Stade Français qui a l’air de ne connaître ni doute ni fatigue, c’est loin d’être gagné. Les supporters des deux camps vont avoir de quoi s’égosiller.
Prêts pour le grand frisson ?
Le dernier face-à-face a vu les Parisiens l’emporter, mais les matchs ne se ressemblent pas. Ce samedi, tout est possible et c’est ça qui est bon. Que le meilleur gagne, et que les fans des deux équipes nous offrent une ambiance de folie.
J’ai grandi dans une famille où le rugby était de tous les moments. J’étais au bord du terrain quand Castres a battu Pau et a rejoint l’élite, j’étais dans le Stade Pierre Antoine face à Gary Whetton quand il a fait son Haka pour célébrer le Brennus de 1993 et j’ai toujours été bercé des légendes de ce sport. Maintenant, c’est avec XV Ovalie que j’entends prolonger l’aventure. #TeamCO
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