Le Biarritz Olympique est un peu comme une série à suspense ces derniers temps : on attend le prochain épisode pour savoir qui va reprendre les rênes. C’est un mélange de thriller économique et de passion rugbystique, où acheteurs du monde entier – des Irlandais aux Néo-Zélandais, en passant par des Britanniques et même Ryan Air (oui, vous avez bien lu !) – semblent vouloir entrer dans la danse. Mais au final, on n’est pas beaucoup plus avancés.
Entre espoirs et réalités, le BO en quête d’avenir
Imaginez un peu : le BO, avec toute sa gloire et son histoire, qui fait des clins d’œil à des investisseurs de tous horizons. Et parmi eux, Jean-Baptiste Aldigé, le président, qui semble avoir un plan. Il y a eu des idées, des noms qui circulent, des projets qui font rêver… Mais pour l’instant, c’est un peu comme essayer de prendre une photo nette d’un match en pleine nuit sans flash.
La vente du club : entre rumeurs et réalité
Après une tentative de déménagement avortée à Saint-Sébastien, Aldigé a pensé à vendre le club pour un euro symbolique. On a parlé de Nicolas Brusque, Serge Blanco, et Stéphane Carella pour reprendre le flambeau, sans oublier les investisseurs britanniques et un mystérieux consortium néo-zélandais. Mais, spoiler alert : l’option Ryan Air s’est envolée aussi vite qu’elle était apparue.
Ce qu’il faut retenir pour la suite
Alors, que va-t-il se passer pour le Biarritz Olympique ? On attend des nouvelles de Jean-Baptiste Aldigé, qui devrait bientôt révéler le nom du repreneur. La DNACG aura ensuite son mot à dire pour s’assurer que le nouveau venu a les poches assez profondes pour tenir le club à flot.

Marco, avec lui, tu ressens chaque match comme si t’étais dans les tribunes, la tension, l’excitation, la joie des grands jours. Il a cette manière unique de raconter les matchs, te faisant vibrer au rythme du ballon ovale. Marco, c’est notre conteur, celui qui sait transformer un match en légende.