Dans le rugby, comme dans la vie, les hauts et les bas se succèdent. Pour l’ASM Clermont, le weekend dernier a marqué un de ces moments bas, très bas. L’équipe s’est inclinée lourdement face au Stade Rochelais avec un score sans appel de 42-3. Une défaite qui ne passe pas inaperçue, surtout aux yeux de Christophe Urios, le manager auvergnat, qui n’a pas mâché ses mots pour décrire la performance de son équipe.
Une mentalité à reconstruire
Pour Urios, le problème ne réside pas tant dans la technique ou la tactique, mais plutôt dans la mentalité. Après deux mois de performances qui laissaient entrevoir une lueur d’espoir pour une place dans le top 6, cette défaite révèle une réalité bien amère. Le manager clermontois est dérouté par le manque d’engagement et de combativité de ses joueurs.
Un appel à la réaction
La suite s’annonce décisive pour Clermont. Face à cette adversité, Urios espère sonner le réveil de son équipe. Le match contre l’US Oyonnax, dernier du championnat mais toujours en lutte pour le maintien, représente une opportunité de redressement. Pour l’entraîneur auvergnat, pas question de baisser les bras. La rencontre au Michelin s’annonce comme le moment de vérité pour les Jaunards, un terme affectueux utilisé par les supporters pour désigner leur équipe.
La route est encore longue
La pilule est amère après La Rochelle. Mais bon, c’est le rugby. Un jour t’es en haut, le lendemain, t’es au fond du sac. Les supporters ? Ils sont dégoûtés, mais ils ne lâchent rien. Le Yellow Army reste sur le pont et attend de voir si l’équipe va se sortir les doigts du maillot.
Urios, il a mis les points sur les i : sans un gros coup de collier, la saison va être longue. Mais il sait aussi que ses gars peuvent renverser la vapeur. C’est ça, le rugby : un jour t’es à la ramasse, le lendemain, t’es le roi du monde.
Prochain match contre Oyonnax ? C’est plus qu’un match. C’est le moment de prouver que les mots d’Urios, ça a été un électrochoc. Allez, Clermont, on se bouge !
Marco, avec lui, tu ressens chaque match comme si t’étais dans les tribunes, la tension, l’excitation, la joie des grands jours. Il a cette manière unique de raconter les matchs, te faisant vibrer au rythme du ballon ovale. Marco, c’est notre conteur, celui qui sait transformer un match en légende.