Pas de miracle finalement pour l’Argentine, qui aurait pu espérer son premier succès. Au lieu de ça, une équipe d’Afrique du Sud impitoyable a largement dominé les débats et s’est imposée 48 à 7 lors de la dernière journée du Rugby Championship.
Cette victoire permet aux Springboks de décrocher leur premier titre dans la compétition depuis 2019.
Une domination totale des Springboks
Face à une équipe argentine qui nourrissait encore un mince espoir de remporter le titre, les Springboks n’ont laissé aucune chance aux Pumas. Dès les premières minutes, la puissance sud-africaine a fait la différence, notamment grâce à un premier essai rapide d’Aphelele Fassi. Bien que l’Argentine ait tenté de réagir avec un essai d’Albornoz, cela n’a pas suffi pour enrayer la dynamique des champions du monde en titre.
À la pause, les hommes de Rassie Erasmus menaient déjà 27 à 7. En deuxième période, l’indiscipline argentine a coûté cher avec notamment l’exclusion de Pablo Matera sur carton rouge à l’heure de jeu, laissant le champ libre aux Sud-Africains pour alourdir le score.
Un pack sud-africain surpuissant
Les Springboks ont dominé dans tous les secteurs, particulièrement en mêlée et dans les impacts. Leur puissance physique a fait des ravages, avec des avants intraitables et des trois-quarts efficaces. Cheslin Kolbe et Malcolm Marx ont également marqué de leur empreinte ce match avec des essais décisifs, contribuant au spectacle offert à Mbombela.
La consécration pour une génération dorée
Cette victoire permet à l’Afrique du Sud de remporter son deuxième Rugby Championship depuis l’intégration de l’Argentine en 2012. Ce succès est d’autant plus marquant qu’il intervient après une compétition maitrisée et solide, malgré une défaite initiale face à ces mêmes Pumas. Le match a également été l’occasion pour Eben Etzebeth de fêter sa 128e sélection, un record accompagné d’un nouveau titre pour cette génération dorée.
Malgré un bon début de tournoi, l’Argentine termine troisième, dépassée par une Afrique du Sud impériale et prête à en découdre dans les futures échéances internationales.
J’ai grandi dans une famille où le rugby était de tous les moments. J’étais au bord du terrain quand Castres a battu Pau et a rejoint l’élite, j’étais dans le Stade Pierre Antoine face à Gary Whetton quand il a fait son Haka pour célébrer le Brennus de 1993 et j’ai toujours été bercé des légendes de ce sport. Maintenant, c’est avec XV Ovalie que j’entends prolonger l’aventure. #TeamCO
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