La Pression palpable pour la France vue par les All Blacks

L’atmosphère électrique qui précède le match d’ouverture de la Coupe du Monde de rugby entre la France et la Nouvelle-Zélande à Paris semble galvaniser les All Blacks. Selon eux, la pression qui pèse sur les Bleus pourrait jouer en faveur des visiteurs.

L’avis de Jason Ryan

L’entraîneur des avants des All Blacks, Jason Ryan, a partagé ses impressions à Lyon, où son équipe entame ses préparatifs. Selon lui, être l’équipe hôte engendre une pression considérable. Cette perspective a été renforcée par les témoignages de certains joueurs néo-zélandais ayant déjà participé à plusieurs éditions de la Coupe du Monde.

Enjeux pour les deux équipes

Bien que la pression soit forte pour la France, les All Blacks ont également des défis à relever. Leur objectif ne se limite pas à obtenir un bon résultat, mais aussi à démontrer une performance solide. Il est à noter que la Nouvelle-Zélande n’a jamais perdu un match de poule en Coupe du Monde.

Les supporters, un facteur clé

Jason Ryan a également évoqué la différence entre les supporters des deux nations. Si les fans néo-zélandais sont décrits comme plus réservés, les supporters français, eux, sont reconnus pour leur passion et leur enthousiasme. Cette ferveur pourrait jouer un rôle déterminant dans l’ambiance du match.

A lire :  Tournoi des Six Nations : les Bleus sur le toit de l’Europe, Ramos dans l’histoire

Expérience et blessures

Parmi les joueurs expérimentés des All Blacks, Sam Whitelock, participant à sa quatrième Coupe du Monde, apporte son expertise à l’équipe. D’autres joueurs, comme Brodie Retallick, sont en phase de récupération après des blessures. Retallick, ayant subi une blessure au genou, devrait manquer deux matchs de poule. De son côté, Tyrel Lomax se remet d’une blessure à la jambe, tandis que Shannon Frizell est toujours en convalescence suite à une blessure à l’ischio-jambier.

Moins d’une semaine !

La Coupe du Monde de rugby s’annonce intense et passionnante. Les deux équipes, bien préparées, sont prêtes à offrir un spectacle mémorable. Pour Jason Ryan, cette compétition est une première, mais il aborde ce défi avec humilité et détermination.

whatsapp image 2024 07 31 at 09.08.32

J’ai grandi dans une famille où le rugby était de tous les moments. J’étais au bord du terrain quand Castres a battu Pau et a rejoint l’élite, j’étais dans le Stade Pierre Antoine face à Gary Whetton quand il a fait son Haka pour célébrer le Brennus de 1993 et j’ai toujours été bercé des légendes de ce sport. Maintenant, c’est avec XV Ovalie que j’entends prolonger l’aventure. #TeamCO