Thomas Ramos et sa pénalité victorieuse contre l’Angleterre resteront dans les annales, non seulement pour l’exploit sportif qu’elle représente mais aussi pour son impact financier significatif sur les caisses de la Fédération Française de Rugby (FFR).
Un coup de pied qui vaut de l’or
Samedi soir à Lyon, lors du fameux “Crunch” contre l’Angleterre, Ramos a non seulement assuré la victoire du XV de France avec un score serré de 33-31, mais son geste a également eu des répercussions majeures sur le plan financier.
En effet, grâce à cette pénalité, la France a décroché la deuxième place du Tournoi des Six Nations 2024, ce qui a permis à la FFR d’empocher près de 2,8 millions d’euros, soit 800 000 euros de plus que si les Bleus avaient terminé à la troisième place.
Une faute controversée
La pénalité de Ramos a été accordée suite à une faute jugée sévère par de nombreux observateurs, notamment anglais. Dans les dernières minutes du match, l’arbitre australien Angus Gardner a sifflé une pénalité pour la France à cinquante mètres des poteaux.
Cette décision a suscité de vifs débats, certains la qualifiant même de “ridicule”. Pourtant, elle a été déterminante, non seulement pour le résultat du match mais aussi pour la prime financière attribuée à la FFR.
Les finances de la ffr soulagées
Cette manne financière arrive à point nommé pour la FFR, qui pourra ainsi respecter son budget prévisionnel. Le montant total de la prime reçue pour la deuxième place devra cependant être ajusté en déduisant les primes de victoire attribuées aux joueurs pour leur performance. Néanmoins, l’impact positif sur les finances de la fédération reste considérable.
Une histoire qui dépasse le terrain
Ce qui est sûr, c’est que cette pénalité de Thomas Ramos ne sera pas oubliée de sitôt. Pas juste pour son aspect sportif, mais aussi pour tout ce qu’elle implique en coulisses. Dans le rugby, comme ailleurs, les victoires ne se mesurent pas seulement en points ou en trophées, mais aussi en euros. Et cette fois, c’est un vrai jackpot pour le rugby français.
Bref, un grand bravo à Thomas Ramos et à toute l’équipe. Ils nous ont offert un match d’anthologie et un petit rappel que, parfois, un seul geste peut valoir son pesant d’or.
J’ai grandi dans une famille où le rugby était de tous les moments. J’étais au bord du terrain quand Castres a battu Pau et a rejoint l’élite, j’étais dans le Stade Pierre Antoine face à Gary Whetton quand il a fait son Haka pour célébrer le Brennus de 1993 et j’ai toujours été bercé des légendes de ce sport. Maintenant, c’est avec XV Ovalie que j’entends prolonger l’aventure. #TeamCO
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