Le match de samedi contre le Stade Rochelais se profile et Jack Goodhue du Castres Olympique ne cache pas l’ambiance tendue qui règne. Après une défaite contre Gloucester en Challenge Cup, toute l’équipe s’est retroussée les manches. Jack l’affirme, ils sont prêts à se surpasser pour ce match à domicile.
Une saison de hauts et de bas
Huitième au classement, la saison de Castres a été un vrai casse-tête. Jack confie que les moments de satisfaction ont été rares et que les frustrations se sont accumulées, souvent à cause de petits ratés sur le terrain. Mais il assure que tout le monde dans l’équipe, joueurs comme staff, met les bouchées doubles pour redresser la barre.
Le face-à-face avec La Rochelle est plus qu’un simple match. C’est une chance de se refaire une santé, surtout face à une équipe qui a aussi ses propres comptes à régler après une défaite dure à avaler en Champions Cup.
L’influence de Ronan O’Gara
En parlant de La Rochelle, Jack ne tarit pas d’éloges sur Ronan O’Gara, leur entraîneur. Ayant lui-même été coaché par O’Gara chez les Crusaders, il reconnaît l’impact positif de ses méthodes, surtout en défense et dans la gestion des espaces. Ce samedi, c’est un match qui va aussi un peu se jouer sur le banc des entraîneurs.
Un style inimitable, sur le terrain comme en dehors
Et pour finir sur une note plus légère, Jack rigole en parlant de sa fameuse coupe mulet. C’est sa marque de fabrique, un petit côté rebelle qu’il cultive depuis ses jours avec les All Blacks. Pour lui, ce look est bien plus qu’une fantaisie, c’est un morceau de son identité.
Bref, entre préparations tactiques et anecdotes capillaires, Jack Goodhue et Castres ne manquent ni de défis ni de caractère. Samedi, ils ne seront pas juste là pour jouer, ils viendront pour gagner et montrer que leur saison est loin d’être finie.
Marco, avec lui, tu ressens chaque match comme si t’étais dans les tribunes, la tension, l’excitation, la joie des grands jours. Il a cette manière unique de raconter les matchs, te faisant vibrer au rythme du ballon ovale. Marco, c’est notre conteur, celui qui sait transformer un match en légende.