Après un match plutôt mouvementé contre l’Italie, qui s’est soldé par un 13-13, Jonathan Danty, notre centre bien aimé du XV de France, se retrouve sur la touche. La raison ? Un plaquage un peu trop enthousiaste sur l’Italien Juan Ignacio Brex.
Comment on en est arrivé là ?
Au départ, la commission de discipline avait en tête de le mettre au repos forcé pendant six semaines. Mais voilà, Jonathan a joué la carte de la sincérité : entre excuses et reconnaissance de sa bourde, il a réussi à attendrir un peu les cœurs. Résultat ? Sa peine tombe à quatre semaines. Ah, mais parce qu’il avait déjà quelques petites bêtises à son actif, on lui rajoute une semaine bonus. Dur, mais juste, non ?
Ce que ça change pour Danty et pour nous
Sans Danty, on va devoir se passer de ses percées fulgurantes pour le reste du Tournoi des Six Nations. Et ce n’est pas tout : son club, La Rochelle, va aussi devoir composer sans lui pour quelques matchs en Top 14 et, qui sait, peut-être même en Champions Cup. Autant dire que son absence, on va la sentir passer.
Petit rappel des règles du jeu
Cette histoire, c’est un peu la piqûre de rappel dont tout le monde avait besoin. Oui, le rugby, c’est du contact, mais il y a des limites à ne pas franchir pour garder tout le monde en un seul morceau. La commission de discipline ne rigole pas avec la sécurité : un geste dangereux, et c’est le banc de touche assuré. Et puis, reconnaître ses erreurs, ça peut aider à réduire la facture.
Allez, Jonathan, on compte les jours et on t’attend de pied ferme pour ton retour !
J’ai grandi dans une famille où le rugby était de tous les moments. J’étais au bord du terrain quand Castres a battu Pau et a rejoint l’élite, j’étais dans le Stade Pierre Antoine face à Gary Whetton quand il a fait son Haka pour célébrer le Brennus de 1993 et j’ai toujours été bercé des légendes de ce sport. Maintenant, c’est avec XV Ovalie que j’entends prolonger l’aventure. #TeamCO