Hounkpatin rejoue et ça grince dans les gradins

Le retour de Wilfrid Hounkpatin sous les couleurs du Castres Olympique, malgré des accusations pendantes de violences conjugales, ça fait jaser dans l’univers du rugby. Il remet les crampons et entre sur le pré à Toulouse, et là, c’est le festival de sifflets et de tweets pas piqués des hannetons.

Le Castres Olympique entre le marteau et l’enclume

Alors voilà, Hounkpatin est dans la tourmente, accusé de pas très jolies choses, et son club décide de le faire jouer. Sur Sud Radio, le journaliste Rémy Mességué n’y va pas par quatre chemins et se demande quel genre de message on envoie aux victimes avec un come-back pareil.

Un choix qui fait débat

Au départ, le Castres Olympique avait mis Hounkpatin au placard, disant que ses actions ne collaient pas avec l’esprit du club. Mais voilà, le rugby c’est aussi des résultats à obtenir, et après une petite amende, le voilà de retour sur le terrain. Ça laisse songeur.

Les valeurs du rugby en question

L’histoire de Hounkpatin remue pas mal de questions. Comment jongler entre l’envie de gagner et rester droit dans ses bottes côté valeurs ? L’indignation de certains fans montre bien que l’affaire dépasse le cadre du terrain. Elle nous fait tous réfléchir sur ce qu’on attend vraiment du rugby et de ceux qui le pratiquent.

Bref, le cas Hounkpatin c’est un peu le caillou dans la chaussure du rugby français. Pendant que le joueur attend son procès prévu pour le 3 avril, on est nombreux à se demander si on n’est pas en train de perdre de vue l’essence même de notre sport. Pas sûr que ce soit le genre de publicité dont le rugby avait besoin.

Perso, j’ai beau supporter le CO, là, la dragée a du mal à passer quand même…

marco

Marco, avec lui, tu ressens chaque match comme si t’étais dans les tribunes, la tension, l’excitation, la joie des grands jours. Il a cette manière unique de raconter les matchs, te faisant vibrer au rythme du ballon ovale. Marco, c’est notre conteur, celui qui sait transformer un match en légende.