Parlons de George Tilsley et de sa situation chaotique au SU Agen. L’ailier, connu pour ses courses éclatantes, est dans la tourmente après une altercation avec Thomas Léger, le directeur général. Ça sent le roussi pour son avenir au club.
Des hauts et des bas
L’histoire de Tilsley, c’est un peu les montagnes russes. Entre une condamnation pour violences conjugales et un contrat coupé net par le Stade Toulousain, son retour à Agen devait être sa chance de se refaire une beauté. Mais voilà, les vieilles habitudes ont la peau dure.
L’incident qui fait déborder le vase
Imaginez un peu la scène : Agen vient de battre Provence Rugby, tout le monde devrait être aux anges, mais non, Tilsley a d’autres plans. Entre une préparation douteuse et des choix de tenue… originaux, disons que notre ailier n’a pas vraiment joué la carte du pro modèle. Et cette altercation, c’était la goutte d’eau.
Le club en mode “motus et bouche cousue”
Le SU Agen, c’est un peu comme une famille, et dans les familles, certains sujets sont tabous. Malgré les efforts de l’entraîneur Dave Ryan pour garder le cap, l’affaire Tilsley, c’est le genre de truc dont on préfère ne pas parler. Jean-François Fonteneau, le boss, aurait bien aimé éviter le drama, mais là, ça semble compliqué.
Et maintenant ?
La mise à pied de Tilsley, c’est probablement juste le début de la fin. On parle de licenciement pour faute grave. Pour George, c’est un moment clé. Va-t-il réussir à rebondir après cette nouvelle épreuve ? Seul l’avenir nous le dira. Mais une chose est sûre, dans le rugby comme ailleurs, les actions ont des conséquences, et parfois, elles sont loin d’être légères.
J’ai grandi dans une famille où le rugby était de tous les moments. J’étais au bord du terrain quand Castres a battu Pau et a rejoint l’élite, j’étais dans le Stade Pierre Antoine face à Gary Whetton quand il a fait son Haka pour célébrer le Brennus de 1993 et j’ai toujours été bercé des légendes de ce sport. Maintenant, c’est avec XV Ovalie que j’entends prolonger l’aventure. #TeamCO