Gatland et ses Gallois prêts pour l’affrontement à Twickenham

Warren Gatland, le stratège derrière le Pays de Galles, ne tremble pas à l’idée de mener ses troupes à Twickenham pour le prochain gros match du Tournoi des Six Nations. Avec un palmarès impressionnant sur ce terrain, l’entraîneur voit dans cette rencontre une opportunité de plus à saisir.

Gatland, un coach sans pression

L’histoire de Gatland avec Twickenham ne date pas d’hier : victoires en Premiership, triomphe en Coupe Heineken avec les Wasps, et des moments mémorables avec le Pays de Galles, dont une victoire qui a mis fin à 20 ans d’attente et un coup d’éclat qui a éjecté l’Angleterre de sa propre Coupe du Monde en 2015. Autant dire que l’homme connaît la recette du succès sur le sol anglais.

Ses secrets : préparation et adaptation

Pour Gatland, le match se joue autant sur le terrain que dans les têtes. Commencer fort, faire taire les chants anglais et limiter les erreurs sont ses mots d’ordre. Après une seconde mi-temps prometteuse contre l’Écosse, l’équipe a peaufiné sa stratégie, prête à affronter l’Angleterre avec une confiance renouvelée.

Du sang neuf et des retours attendus

Sous la houlette de Dafydd Jenkins, le capitaine, le Pays de Galles voit le retour de joueurs clés comme Gareth Thomas et George North, ainsi que Will Rowlands prêt à faire sa part depuis le banc. Chaque changement est pensé pour renforcer l’équipe face à l’adversité historique que représente l’Angleterre.

Plus qu’un match, une question de fierté

Pour Jenkins, affronter l’Angleterre à Twickenham est personnel. Vaincre sur cette terre, c’est aussi triompher de coéquipiers de club, une victoire qui résonnerait bien au-delà du simple cadre sportif.

L’approche de Gatland, mêlant sérénité, préparation minutieuse et ajustements stratégiques, montre que le Pays de Galles arrive à Twickenham non seulement avec un riche héritage, mais aussi avec une ferme intention de marquer les esprits

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J’ai grandi dans une famille où le rugby était de tous les moments. J’étais au bord du terrain quand Castres a battu Pau et a rejoint l’élite, j’étais dans le Stade Pierre Antoine face à Gary Whetton quand il a fait son Haka pour célébrer le Brennus de 1993 et j’ai toujours été bercé des légendes de ce sport. Maintenant, c’est avec XV Ovalie que j’entends prolonger l’aventure. #TeamCO