Faletau, la pièce maîtresse du Pays de Galles sur le fil pour la Coupe du Monde de Rugby

Taulupe Faletau, l’un des piliers de l’équipe de rugby du Pays de Galles et comptant 100 sélections nationales, risque de manquer les matchs de préparation à la Coupe du Monde de Rugby. Malgré cette incertitude, l’équipe reste confiante quant à sa participation effective au tournoi.

Blessure et incertitudes

Le numéro huit n’a pas été du voyage en Turquie, où l’équipe se prépare pour le grand rendez-vous mondial. Ce choix a soulevé des interrogations, notamment suite aux récentes retraites de Alun Wyn Jones et Justin Tipuric. Une explication a vite été apportée : Faletau a été victime d’une blessure au mollet qui l’empêchera de disputer le premier match contre l’Angleterre.

Son entraîneur Jonathan Humphreys se montre néanmoins optimiste : “Sa rééducation se passe bien”. Humphreys envisage même sa présence à la Coupe du Monde, même si l’incertitude demeure pour les deux prochains matchs de préparation contre l’Angleterre et l’Afrique du Sud.

Un absent de taille pour les matchs de préparation

La présence de Faletau lors des matchs de préparation serait un atout indéniable pour les joueurs moins expérimentés. Pour autant, son absence ne semble pas alarmer outre mesure Humphreys : “Nous espérons qu’il jouera, mais nous ne pousserons pas trop s’il n’est pas à 100%”.

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Le Pays de Galles a d’ailleurs choisi de laisser Faletau – ainsi que les autres joueurs blessés, Johnny Williams, Joe Roberts, Owen Williams et Alex Cuthbert – en dehors du déplacement en Turquie. Humphreys explique ce choix : “La question était de savoir s’il valait mieux l’emmener ici ou le laisser chez lui, où il peut passer plus de temps avec sa famille”.

Solutions de rechange

En cas d’absence de Faletau, le Pays de Galles devra pallier l’absence de son seul numéro huit spécialiste. Humphreys semble confiant face à cette perspective, citant Aaron Wainwright et Jac Morgan comme potentielles solutions de rechange. “Nous avons quelques options pour ce poste”, assure-t-il, suggérant que la concurrence pourrait être bénéfique pour l’équipe.

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J’ai grandi dans une famille où le rugby était de tous les moments. J’étais au bord du terrain quand Castres a battu Pau et a rejoint l’élite, j’étais dans le Stade Pierre Antoine face à Gary Whetton quand il a fait son Haka pour célébrer le Brennus de 1993 et j’ai toujours été bercé des légendes de ce sport. Maintenant, c’est avec XV Ovalie que j’entends prolonger l’aventure. #TeamCO