L’Angleterre a infligé une sévère correction à l’équipe japonaise dirigée par Eddie Jones, leur ancien entraîneur. Ce match, qui avait des allures de règlement de comptes, a permis aux Anglais de régler leurs comptes avec leur ex-coach de manière spectaculaire.
Les Anglais prennent leur revanche
L’équipe d’Angleterre, dirigée par Steve Borthwick, a saisi l’occasion pour montrer à Eddie Jones ce qu’elle avait dans le ventre. Les joueurs comme Ollie Lawrence et Marcus Smith, autrefois critiqués par Jones, ont brillé. Lawrence, que Jones avait qualifié de « pas assez affamé », et Smith, qualifié de « choix politique », ont montré sur le terrain que leur ancien entraîneur s’était trompé sur toute la ligne.
Des critiques qui motivent
Jones avait laissé derrière lui une équipe anglaise remplie de doutes et de critiques. Lawrence et Smith ont utilisé ces critiques comme carburant pour livrer une performance éclatante. Smith, en particulier, a marqué 13 points, prouvant à Jones qu’il est bien plus qu’un simple choix politique.
Le Japon de Jones à la peine
Pour Eddie Jones, le match contre ses anciens protégés a tourné au cauchemar. Malgré toute sa verve et ses déclarations avant le match, son équipe japonaise n’a pas fait le poids. Les Japonais, qui avaient pourtant bien commencé, se sont effondrés sous la pression anglaise, encaissant une avalanche de points.
Des choix discutables
Jones a pris des décisions de sélection audacieuses, comme titulariser Yoshitaka Yazaki, un joueur universitaire inexpérimenté, au poste d’arrière. Ce choix s’est avéré désastreux, laissant l’équipe vulnérable face aux attaques anglaises. Résultat : une défaite sévère et un match à sens unique.
Une leçon pour Jones et un boost pour l’Angleterre
Cette défaite est une grosse claque pour Eddie Jones, qui espérait sans doute faire une meilleure impression face à ses anciens joueurs. Pour l’Angleterre, c’est une victoire importante qui met un point final à l’ère Jones et donne un coup de boost pour la suite, notamment en vue de leur prochain match contre la Nouvelle-Zélande.
Les Anglais ont montré qu’ils étaient prêts à tourner la page et à écrire un nouveau chapitre sous la direction de Steve Borthwick, avec une belle démonstration de force et de cohésion.
Source : The Telegraph
J’ai grandi dans une famille où le rugby était de tous les moments. J’étais au bord du terrain quand Castres a battu Pau et a rejoint l’élite, j’étais dans le Stade Pierre Antoine face à Gary Whetton quand il a fait son Haka pour célébrer le Brennus de 1993 et j’ai toujours été bercé des légendes de ce sport. Maintenant, c’est avec XV Ovalie que j’entends prolonger l’aventure. #TeamCO