Dans le paysage mouvant du rugby international, l’ancien sélectionneur de l’Australie, Eddie Jones, manifeste un intérêt prononcé pour le poste de sélectionneur de l’équipe du Japon, une fonction laissée vacante suite au départ de Jamie Joseph après la Coupe du Monde.
Un retour aux sources envisagé pour Jones
Après une période tumultueuse à la tête des Wallabies, marquée par une élimination précoce lors du dernier Mondial en France, Jones se retrouve libre de tout engagement. L’entraîneur australien n’est pas un inconnu sur l’archipel nippon, ayant déjà mené les Brave Blossoms de 2012 à 2015, une période qui a vu l’équipe nationale japonaise gagner en stature sur la scène internationale.
Des liens familiaux et professionnels forts
Jones, dont l’épouse est japonaise et qui possède des racines américano-japonaises par sa mère, a toujours entretenu une relation particulière avec le Japon. Ces liens pourraient influencer son avenir professionnel, lui qui a clairement exprimé son désir de prendre en main les rênes de l’équipe nationale, en l’absence d’une proposition formelle jusqu’à présent.
La concurrence pour le poste
La Fédération japonaise de rugby à XV (JRFU) ne manque pas de candidats pour ce poste stratégique. Frans Ludeke, architecte du succès récent des Kubota Spears, est également dans la course et devrait être auditionné prochainement. La JRFU semble donc peser ses options avec attention, dans un contexte où le rugby japonais cherche à se réinventer après une Coupe du Monde en demi-teinte.
Un démenti face aux rumeurs
Des rumeurs ont circulé concernant un entretien en ligne entre Jones et la JRFU durant son temps avec les Wallabies, des allégations que l’entraîneur a fermement réfutées. Il reste concentré sur l’avenir et sur les défis que le rugby japonais doit relever pour continuer à progresser.
Dans l’attente d’une décision officielle, le monde du rugby observe avec intérêt les développements futurs de cette association potentielle entre Eddie Jones et le Japon, une alliance qui pourrait redéfinir le paysage rugbystique nippon dans les années à venir.
J’ai grandi dans une famille où le rugby était de tous les moments. J’étais au bord du terrain quand Castres a battu Pau et a rejoint l’élite, j’étais dans le Stade Pierre Antoine face à Gary Whetton quand il a fait son Haka pour célébrer le Brennus de 1993 et j’ai toujours été bercé des légendes de ce sport. Maintenant, c’est avec XV Ovalie que j’entends prolonger l’aventure. #TeamCO