Dur week-end pour l’USAP : deux guerriers au tapis à Paris

Pour l’USAP, la visite n’a pas été de tout repos : défaite 32-19 et, cerise sur le gâteau, deux de ses joueurs clés ont dû quitter le pré plus tôt que prévu. Parlons peu, mais parlons rugby.

Un match qui laisse des traces

Imaginez : à peine le coup d’envoi donné, So’otala Fa’aso’o, notre numéro 8 préféré, doit dire adieu au match après 3 petites minutes. Une course épique de 30 mètres et paf, l’ischio dit stop. Lucas Velarte puis Kélian Galletier ont pris le relais, mais l’absence de So’otala, c’était un peu comme un cassoulet sans saucisse : il manquait quelque chose.

Et comme un malheur n’arrive jamais seul, Marvin Orie, notre deuxième ligne et fier champion du monde, a pris un plaquage qui l’a laissé KO. Résultat ? Une commotion cérébrale et un petit séjour au sol qui a permis aux Parisiens de gratter une pénalité. Pas cool.

Et maintenant ?

Bon, clairement, l’USAP a vu des jours meilleurs. Entre la perte de Fa’aso’o et les points d’interrogation autour de la santé d’Orie, le staff va devoir jouer aux chaises musicales pour préparer la réception de La Rochelle. Mais si y a bien un truc qu’on sait sur l’USAP, c’est que c’est dans l’adversité qu’elle se révèle.

Alors oui, Paris n’a pas été tendre, mais l’USAP, c’est pas le genre à se laisser abattre pour si peu. La route est encore longue et chaque match est une nouvelle bataille. On se retrousse les manches, on ajuste le casque et on repart au combat. Après tout, c’est ça le rugby, non ?

marco

Marco, avec lui, tu ressens chaque match comme si t’étais dans les tribunes, la tension, l’excitation, la joie des grands jours. Il a cette manière unique de raconter les matchs, te faisant vibrer au rythme du ballon ovale. Marco, c’est notre conteur, celui qui sait transformer un match en légende.