Des entraîneurs néo-zélandais prêts à affronter les All Blacks ?

La surprenante décision de Steve Hansen

L’annonce de l’ancien entraîneur des All Blacks, Steve Hansen, de rejoindre son ami Eddie Jones à Paris a été accueillie avec surprise. Bien connu pour ses critiques envers New Zealand Rugby, Hansen semble maintenant prêt à travailler avec les Wallabies australiens, même si son influence sur l’équipe devrait être limitée en raison de la courte durée de son séjour.

L’étoile montante, Ian Foster

L’entraîneur néo-zélandais Ian Foster, dont la cote a considérablement augmenté cette année, est libre de devenir entraîneur contre les All Blacks à partir de 2024. Sa relation privilégiée avec Joe Schmidt pourrait également lui ouvrir des portes sur le marché des entraîneurs. Dans le rugby français, on s’attend à ce que la combinaison Foster-Schmidt soit très prisée l’année prochaine.

L’ambition internationale de Scott Robertson

En Nouvelle-Zélande, l’entraîneur de rugby Scott Robertson a dévoilé son ambition de remporter la Coupe du Monde de Rugby avec deux équipes nationales différentes. Il souhaite réaliser cet exploit avec son pays d’origine ainsi qu’avec une autre nation, sans préciser laquelle.

La Coupe du Monde de Rugby, un tremplin pour les entraîneurs

Si les All Blacks remportent la Coupe du Monde de Rugby, il est fort probable que Foster et Schmidt reçoivent de nombreuses offres de la part d’équipes nationales, notamment de celles qui n’auraient pas brillé lors du tournoi. Le rugby est aujourd’hui un sport international, et les entraîneurs de haut niveau, comme les dirigeants d’entreprise néo-zélandais, cherchent des opportunités à l’étranger.

Les secrets d’État, une crainte infondée

Les préoccupations concernant un entraîneur des All Blacks emportant avec lui des secrets d’État sont exagérées.

Les All Blacks sont le produit d’un ensemble unique de circonstances propres à la Nouvelle-Zélande, et il est peu probable que leurs méthodes d’entraînement soient transposables ailleurs. Les cas de Robbie Deans et Dave Rennie, qui n’ont pas réussi à imposer leurs méthodes néo-zélandaises aux Wallabies, en sont la preuve.

Un changement de cap pour le rugby néo-zélandais ?

Les temps évoluent, et il en va de même pour les circonstances. La décision de Steve Hansen de collaborer avec les Wallabies pourrait bien être le début d’une nouvelle ère dans le rugby international. En France, nous observerons avec intérêt les mouvements d’entraîneurs néo-zélandais et leur impact sur le rugby mondial.

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J’ai grandi dans une famille où le rugby était de tous les moments. J’étais au bord du terrain quand Castres a battu Pau et a rejoint l’élite, j’étais dans le Stade Pierre Antoine face à Gary Whetton quand il a fait son Haka pour célébrer le Brennus de 1993 et j’ai toujours été bercé des légendes de ce sport. Maintenant, c’est avec XV Ovalie que j’entends prolonger l’aventure. #TeamCO