L’international géorgien Davit Niniashvili se trouve au cœur d’un imbroglio contractuel. Le joueur de 22 ans voit son contrat avec le LOU Rugby arriver à échéance en juin 2025, et non 2024 comme indiqué précédemment. Son futur club reste incertain à ce stade.
La chasse est ouverte
Plusieurs cadors du Top 14 ont manifesté leur intérêt pour le talentueux arrière. Le Stade Rochelais s’est positionné en premier, mais la piste semble s’être refroidie. Les Maritimes lorgnent désormais sur Léo Barré pour renforcer leur ligne arrière.
Le RC Toulonnais reste dans la course pour s’attacher les services du Géorgien. La polyvalence et le potentiel de Niniashvili en font une cible prisée sur le marché des transferts.
Le LOU montre les crocs
Malgré l’intérêt marqué de ses concurrents, le LOU Rugby n’a pas dit son dernier mot. Les dirigeants rhodaniens croient en leurs chances de prolonger l’aventure avec leur pépite. Le club vient de sécuriser les contrats de Baptiste Couilloud et Dylan Cretin, et souhaite poursuivre sur cette lancée.
Un élément pourrait jouer en faveur des Lyonnais : les indemnités de formation. Tout club souhaitant recruter Niniashvili devra s’acquitter d’une somme conséquente à ce titre. Le LOU espère que ce montant dissuadera les prétendants et facilitera une prolongation de contrat.
Affaire à suivre
L’avenir de Davit Niniashvili reste donc en suspens. Entre l’attrait des grands clubs, l’attachement à son club formateur et les considérations financières, le jeune arrière géorgien a du pain sur la planche. Les prochains mois s’annoncent décisifs dans ce dossier qui anime le marché des transferts du rugby français.
J’ai grandi dans une famille où le rugby était de tous les moments. J’étais au bord du terrain quand Castres a battu Pau et a rejoint l’élite, j’étais dans le Stade Pierre Antoine face à Gary Whetton quand il a fait son Haka pour célébrer le Brennus de 1993 et j’ai toujours été bercé des légendes de ce sport. Maintenant, c’est avec XV Ovalie que j’entends prolonger l’aventure. #TeamCO