Pour Hugo Auradou et la Section Paloise, le verdict est tombé : fin de saison sur une entorse de la cheville. Retour sur cette tuile qui met à mal les plans béarnais.
Auradou laisse un gros vide…
À seulement 20 ans, Auradou s’est frayé un chemin jusqu’au cœur de l’effectif de la Section, devenant le deuxième ligne le plus sollicité. Champion du monde des moins de 20 ans, il a enchaîné les performances solides, affirmant son statut de pilier incontournable. Sa chute, au sens propre comme au figuré, laisse un vide difficile à combler.
Une saison maudite pour les deuxièmes lignes
Ce n’est pas la première fois que la deuxième ligne paloise est mise à rude épreuve. Avant Auradou, d’autres ont dû mettre un genou à terre : Capelli, Liufau, sans oublier Cummins, hors jeu pour des raisons de santé.
Malgré ces coups du sort, Pau a dû puiser dans ses réserves, comptant sur des guerriers comme Metz, Whitelock ou Ducat pour tenir la baraque.
Quelles conséquences pour Auradou ?
Pour Auradou, ce coup d’arrêt survient au pire moment. Son nom circulait dans les couloirs de Marcoussis, avec une possible convocation chez les Bleus pour la tournée en Argentine. Hélas, avec une indisponibilité de trois mois, son été risque d’être plus calme que prévu.
La résilience de la Section
Malgré cette série noire, la Section Paloise ne baisse pas les bras. Le prochain défi ? Le Connacht, en 8e de finale de la Challenge Cup. C’est l’occasion pour l’équipe de montrer sa force de caractère, son unité face à l’adversité. Auradou sera sans doute le premier supporter de ses coéquipiers, espérant un retour triomphal sur les terrains la saison prochaine.

Marco, avec lui, tu ressens chaque match comme si t’étais dans les tribunes, la tension, l’excitation, la joie des grands jours. Il a cette manière unique de raconter les matchs, te faisant vibrer au rythme du ballon ovale. Marco, c’est notre conteur, celui qui sait transformer un match en légende.