Adam Coleman, solide deuxième ligne australien de 31 ans, pourrait bientôt rejoindre nos contrées.
En quête d’un nouveau club, il fait l’objet de l’attention de l’Union Bordeaux-Bègles (UBB) et de Perpignan. Le joueur, actuellement sous contrat avec les London Irish, envisage de partir en raison de la précarité financière de son équipe et de leur exclusion de la prochaine saison.
Quête d’une nouvelle maison
Bordeaux semble tenir le haut du pavé dans la course à la signature de Coleman. En effet, celui-ci a déjà entamé des discussions sérieuses avec l’UBB et a même commencé ses recherches immobilières pour sa famille dans la région bordelaise.
Un colosse au service de l’UBB
La signature de Coleman serait une excellente nouvelle pour l’UBB, qui cherche à renforcer sa deuxième ligne.
En effet, l’équipe doit faire face à la blessure de Jandré Marais et à une éventuelle convocation de Cyril Cazeaux en sélection. Coleman, avec ses impressionnants 2,04 m et 122 kg, représenterait un atout majeur. Avec 38 sélections avec l’équipe nationale australienne et des passages marquants chez les Waratahs, la Western Force et les Melbourne Rebels, son expérience serait un véritable plus.
Une adaptation financière nécessaire
Ce transfert ne sera pas sans conséquences pour Coleman. Depuis 2019, le géant australien touchait plus de 40 000 euros par mois chez les London Irish en tant que “marquee player”. Une venue en France signifierait pour lui d’importants sacrifices financiers.
L’arrivée de Coleman en France pourrait être retardée. Le deuxième ligne est en effet attendu par les Tonga pour préparer la Coupe du monde 2023, et pourrait donc être absent jusqu’à octobre.
Une concurrence écartée
D’autres équipes françaises s’étaient montrées intéressées par le profil de Coleman, notamment Bayonne. Mais le choix du joueur semble clairement se porter sur l’UBB.
L’arrivée imminente de Coleman à l’UBB est une perspective enthousiasmante. Son profil physique exceptionnel et sa grande expérience internationale apporteront une nouvelle dimension à l’équipe. Une fois la Coupe du Monde terminée, il est attendu de pied ferme sur les terrains français.
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