Ça chauffe en Australie à l’approche de la Coupe du Monde ! Eddie Jones, l’actuel entraîneur des Wallabies, est au centre des critiques, notamment de la part d’une figure emblématique du rugby australien, Alan Jones.
Un bilan en berne
Depuis sa prise de fonction en janvier, Eddie Jones peine à convaincre. Son bilan est loin d’être reluisant avec une seule victoire en 14 matches à la tête de l’équipe nationale. Si l’on ajoute à cela ses performances à la tête de l’Angleterre, où il n’a remporté que quatre de ses 13 derniers tests, la situation devient préoccupante.
Des choix d’encadrement contestés
Alan Jones n’a pas hésité à souligner les décisions controversées prises par Eddie Jones concernant son staff :
- Un entraîneur d’attaque qui quitte le navire juste avant le départ pour la France.
- Un entraîneur de la défense sans expérience préalable en rugby union.
Un environnement toxique ?
Les critiques ne s’arrêtent pas là. Eddie Jones est accusé d’avoir créé un environnement malsain lors de son passage aux Queensland Reds en 2005. Une situation qui aurait culminé avec une défaite cinglante de 92-3 contre les Bulls en Afrique du Sud.
Alan Jones pointe également du doigt la gestion humaine d’Eddie Jones, évoquant le fait qu’il ait “usé” 18 entraîneurs et 112 joueurs lors de son passage en Angleterre. Il remet en question le nombre d’assistants embauchés par Eddie Jones avec les Wallabies, se demandant quel rôle ils jouent réellement au sein de l’équipe.
Des traits de caractère inquiétants ?
L’une des critiques les plus sévères vient de la description d’Eddie Jones comme quelqu’un présentant des traits de caractère associés à un trouble de la personnalité antisociale, souvent qualifié de “sociopathe” ou “psychopathe”.
Vers une Coupe du Monde compliquée ?
Malgré ces critiques, Eddie Jones reste confiant. Mais ses choix récents, notamment l’omission de joueurs clés comme Michael Hooper et Quade Cooper, ont soulevé de nombreuses interrogations. Les Wallabies, avec un bilan de 0-5 depuis janvier, ont du pain sur la planche avant leur match d’ouverture contre la Géorgie le 10 septembre.
L’avenir nous dira si Eddie Jones parviendra à redresser la barre et à prouver ses détracteurs. Une chose est sûre, la pression est à son comble.

Jean est un fervent admirateur du ballon ovale. Imprégné de l’esprit du rugby, il écrit avec passion et précision pour notre site, Quinze Ovalie.
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