Avec l’arrivée de figures comme Romain Détré et un trio formé par Shaun Hegarty, Flip Van der Merwe, et Marc Baget, on sent que le vent pourrait tourner. Ils promettent des montagnes d’argent pour redresser la barre, mais pour l’instant, les promesses ne sont pas suivies de chèques.
La dette, une épée de Damoclès
Le BO est dans une zone rouge côté finances. La dette grimpe jusqu’à 6,5 millions d’euros, et il faut dire que les garanties financières demandées pour finir la saison ne sont toujours pas toutes là. Si ces garants ne mettent pas rapidement la main à la poche, le club risque de tomber de haut, jusqu’en rétrogradation.
Où est la transparence ?
Tout est plutôt flou autour des finances du club. Des accords sous silence qui laissent même la maire de Biarritz, Maïder Arosteguy, dans le doute. Un grand rendez-vous est prévu début mai avec une assemblée générale qui pourrait enfin éclaircir les choses et, espérons-le, redonner un peu d’espoir aux fans et à la ville.
Un futur incertain
Le BO a décroché une victoire cruciale contre Agen, ce qui lui donne un peu d’air en vue du maintien en Pro D2. Mais cette bouffée d’oxygène pourrait être de courte durée si les nouveaux leaders ne solidifient pas les finances rapidement. La prochaine assemblée générale va être un moment clé pour savoir si le club va renaître ou s’enfoncer encore plus.
Marco, avec lui, tu ressens chaque match comme si t’étais dans les tribunes, la tension, l’excitation, la joie des grands jours. Il a cette manière unique de raconter les matchs, te faisant vibrer au rythme du ballon ovale. Marco, c’est notre conteur, celui qui sait transformer un match en légende.