Dans un match au sommet de la 11e journée du Top 14, l’Aviron Bayonnais a réalisé un exploit en battant le leader du championnat, le Racing 92, sur un score de 27 à 23. Ce samedi, le stade Jean-Dauger a été le théâtre d’une rencontre imprévisible et riche en émotions.
Un début de match dominé par le Racing
Le Racing 92, en tête du championnat avant cette confrontation, a démarré la partie avec assurance. Les hommes de Stuart Lancaster, profitant d’une défense solide, ont rapidement pris l’avantage grâce à des essais d’Henry Arundell et de Nolann Le Garrec. À la mi-temps, le Racing semblait en bonne position pour maintenir son avance, malgré une résistance notable de l’équipe de Bayonne.
La résilience de Bayonne
Bayonne, bien que dominée en première période, a montré une détermination sans faille. Les Basques, encouragés par un public fervent, ont continué à attaquer avec vigueur. Leur persévérance a été récompensée en seconde mi-temps par des essais de Uzair Cassiem, Thomas Acquier et un dernier essai spectaculaire de Rémy Baget dans les ultimes secondes. Cette remontée impressionnante a permis à Bayonne de prendre l’avantage et de sceller une victoire mémorable.
Les moments clés du match
Le match a été marqué par plusieurs tournants décisifs :
- Les essais du Racing : Arundell et Le Garrec ont donné un avantage confortable au Racing en première période.
- La remontée de Bayonne : Menés de 14 points, les joueurs de Bayonne ont trouvé l’énergie nécessaire pour inverser la tendance.
- Le final époustouflant : L’essai de Rémy Baget, à la dernière minute, a conclu le match sur une note dramatique, offrant la victoire à Bayonne.
Conséquences et perspectives
Cette victoire de Bayonne contre le leader du Top 14 est un signal fort pour le reste du championnat. Elle démontre que la compétition reste ouverte et que chaque équipe, quel que soit son classement, peut prétendre à la victoire. Le Racing 92, malgré cette défaite, conserve sa place en tête du classement mais voit sa marge se réduire.
Ce match restera dans les annales pour son intensité et son dénouement inattendu.
J’ai grandi dans une famille où le rugby était de tous les moments. J’étais au bord du terrain quand Castres a battu Pau et a rejoint l’élite, j’étais dans le Stade Pierre Antoine face à Gary Whetton quand il a fait son Haka pour célébrer le Brennus de 1993 et j’ai toujours été bercé des légendes de ce sport. Maintenant, c’est avec XV Ovalie que j’entends prolonger l’aventure. #TeamCO
{% endif %}
{% if excerpt %}