Revenus en pleine course à la qualification, les hommes de Christophe Urios surfent sur une vague positive depuis deux mois, ranimée par la Challenge Cup et quelques exploits en championnat.
En dépit d’une lourde défaite à Bordeaux, les Clermontois montrent une nette progression, surtout dans les dernières minutes des matchs, souvent mieux maîtrisées.
Toulon vise les sommets, Clermont n’a pas dit son dernier mot
Toulon, actuellement 4e, veut sécuriser sa place en phases finales en accueillant Clermont, 8e, ce week-end.
Les Toulonnais, avec cinq victoires sur leurs six derniers matchs, sont en pleine forme. Clermont, de son côté, voit cette rencontre comme une chance en or pour prolonger sa saison et compte bien jouer crânement sa chance.
L’étincelle clermontoise
Pour Julien Laïrle, adjoint de l’ASM, la prise de conscience des joueurs et l’apport du banc ont été décisifs.
L’entrée de Benjamin Urdapilleta contre Perpignan a apporté la sérénité nécessaire. Sébastien Bézy souligne l’importance de la victoire contre le Stade Français, véritable catalyseur pour l’équipe.
“Aujourd’hui, en effet, on est capable de gagner cette période des matchs entre la 60e et la 80e. Je l’attribue à une prise de conscience de la part des joueurs mais aussi au banc de touche. Souvent, c’est le banc qui amène l’état d’esprit, l’émulation sur les vingt dernières minutes,” explique Julien Laïrle à La Montagne.
Le retour en force grâce à la Challenge Cup
Les victoires en Challenge Cup contre les Cheetahs et l’Ulster ont redonné confiance aux Clermontois après une série de défaites. Ces succès à domicile ont permis de retrouver la dynamique perdue. Le retour de joueurs clés a également boosté les performances de l’équipe ces dernières semaines.
Un duel à couteaux tirés
Dimanche soir à Toulon, Clermont cherchera à conserver sa dynamique dans un match à fort enjeu. Cette rencontre est cruciale pour les deux équipes, chacune espérant une place en phases finales et voulant terminer la saison en beauté.
L’affrontement entre Toulon et Clermont promet d’être un véritable bras de fer.
J’ai grandi dans une famille où le rugby était de tous les moments. J’étais au bord du terrain quand Castres a battu Pau et a rejoint l’élite, j’étais dans le Stade Pierre Antoine face à Gary Whetton quand il a fait son Haka pour célébrer le Brennus de 1993 et j’ai toujours été bercé des légendes de ce sport. Maintenant, c’est avec XV Ovalie que j’entends prolonger l’aventure. #TeamCO