Après leur défaite en demi-finale de Pro D2 face à Vannes (27-21), certains joueurs de l’ASBH sont accusés d’avoir causé des dégâts et menacé la gérante de leur hôtel. Une plainte a été déposée et une enquête est en cours.
Retour de soirée mouvementé
Les choses ont dérapé après une soirée arrosée à la Villa Kirov, une boîte de nuit bien connue à Vannes. Au petit matin, plusieurs joueurs de l’ASBH se sont retrouvés devant leur hôtel, le Brit Hôtel Fleur de Rhuys, sans pouvoir entrer. Et là, ça a dégénéré…
Défonçage de porte et fête improvisée
N’ayant pas le code d’accès, ils ont défoncé la porte d’entrée pour continuer la fête. Une fois à l’intérieur, c’était la fiesta totale : bar dévalisé, verres brisés, meubles cassés. On parle même de dégâts dans une chambre où ils auraient tout retourné.
Menaces de mort en prime
Quand la gérante a tenté de mettre fin à leur délire, elle s’est retrouvée face à des joueurs qui l’ont menacée de mort ! Résultat : elle a dû prendre huit jours de congé médical. Pas vraiment une fin de soirée rêvée pour elle. La direction de l’hôtel, choquée, a immédiatement porté plainte, et les gendarmes ont ouvert une enquête.
La réaction du club
L’ASBH sur le coup
Du côté de l’ASBH, c’est la panique.
Un joueur a déjà été identifié, et le club promet des sanctions sévères. “On va faire le ménage, c’est sûr. On ne peut pas laisser passer ça”, a déclaré un porte-parole (source : Ouest-France). Ils veulent aussi savoir exactement ce qui s’est passé pour éviter que la situation ne dégénère encore plus.
L’image du club en jeu
Avec cette affaire, l’ASBH risque de gâcher son image déjà malmenée par la défaite. Non seulement ils doivent gérer cette débâcle sportive, mais ils ont aussi une bombe médiatique sur les bras. La direction veut collaborer à fond avec les autorités pour laver leur linge sale en famille et éviter que ça ne vire à la catastrophe.
Ça chauffe pour l’ASBH
Ce scandale arrive au pire moment pour l’ASBH. Après une saison difficile, ils se retrouvent maintenant avec une affaire explosive qui pourrait leur coûter très cher, sur le terrain comme en dehors.
Les joueurs impliqués vont sans doute trinquer, et le club devra redoubler d’efforts pour redorer son blason.
J’ai grandi dans une famille où le rugby était de tous les moments. J’étais au bord du terrain quand Castres a battu Pau et a rejoint l’élite, j’étais dans le Stade Pierre Antoine face à Gary Whetton quand il a fait son Haka pour célébrer le Brennus de 1993 et j’ai toujours été bercé des légendes de ce sport. Maintenant, c’est avec XV Ovalie que j’entends prolonger l’aventure. #TeamCO